La redistribution des concessions de casinos par la Confédération pour la période 2025-2045 attise les appétits en Valais. Crans-Montana souhaite conserver ses machines à sous, mais Sion, Saxon, voire Martigny sont aussi sur les rangs. Le chef-lieu est même prêt à accueillir un casino sur un terrain d'intérêt général.

La proposition de la ville de Sion interpelle, en raison du règlement communal des constructions, pour qui une zone d'intérêt général vise les équipements "d'utilité publique", comme une école, un hôpital, un bâtiment administratif ou encore une place de jeu.

Les installations privées "importantes pour la collectivité", tels que pourraient l'être une clinique, un centre culturel, hôtelier ou sportif, sont également comprises dans la définition.

Spécialistes critiques


Zoom (vidéo) - Les casinos sont-ils d'intérêt public? / La Matinale / 2 min. / lundi à 07:14

Quid d'un casino? Des quatre spécialistes de l'aménagement du territoire sondés par la RTS, aucun n'estime qu'une maison de jeu entre dans cette liste, à moins d'en faire une interprétation très extensive, en assimilant par exemple le casino à l'hôtel, explicitement autorisé par le règlement municipal.

Mais pour l'architecte et urbaniste sédunois Lucien Barras, une zone d'intérêt général ne doit pas être ouverte à des entreprises commerciales, car de ce statut particulier découle une réglementation plus souple au niveau de la hauteur des bâtiments, notamment.

Ancien président des ingénieurs et architectes valaisans, Léonard Bender estime pour sa part qu'un casino sort de la définition du règlement communal. Du point de vue politique, il ne donnerait son feu vert que si la ville disposait de plus de zones d'intérêt général que nécessaire pour la prochaine génération.

Sans pour autant cautionner l'argument, une urbaniste imagine que la Ville pourrait justifier la construction d'une maison de jeu en l'assimilant à un hôtel, une exception autorisée par le règlement communal.

Intérêt économique pour Sion

Du côté de la Ville de Sion, le président de la commune Philippe Varone (PLR) voit un intérêt public dans l'intérêt économique que représentent les différents impôts qui pourraient être encaissés. Il cite aussi l'argument touristique sur lequel les autorités entendent davantage miser désormais.

A titre de comparaison, le Casino de Crans-Montana a déjà rapporté jusqu'à 900'000 francs en une année aux communes alentour, sans compter les retombées indirectes. La Confédération et le canton du Valais encaissent du reste davantage, en percevant près d'un quart des recettes, qui ont avoisiné les 15 millions de francs en 2019.

Pas un cas à part

A Sion, au-delà du cas du casino, ce n'est pas la première fois qu'une règle d'aménagement du territoire ou d'intérêt public est interprétée largement. C'était notamment le cas de la télécabine censée relier la capitale valaisanne à la station de Veysonnaz.

La Ville a toujours laissé entendre que la Confédération la financerait dans la mesure où il ne s'agissait pas seulement de tourisme, mais d'un transport public. L'Office fédéral des transports ne l'a pas entendu de cette oreille.

Un autre cas concerne un "oenoparc" exploité par la cave familiale du président de commune, Philippe Varone. Ce projet est situé en zone agricole protégée, ce qui pourrait poser un problème. Le Grand Conseil valaisan a chargé le Conseil d'Etat de faire la lumière sur cette demande d'autorisation de construire controversée.

(source : rts.ch/Romain Carrupt, Flore Dussey)


Quatre participants pour un poker fermé

Autour de la table, ils sont déjà quatre candidats à viser le même jackpot: exploiter un casino en Valais durant 20 ans, à partir de 2025. L'attribution des concessions aux maisons de jeu devrait être décidée en octobre 2023 par la Confédération. La procédure d'appel pour le dépôt des demandes de concession devrait être menée entre mai et septembre 2022.

Déjà dotée d'un casino, la commune de Crans-Montana part avec une bonne main. "Nous employons entre 40 et 50 personnes. Il y a aussi une redistribution d'environ 900'000 francs par année, qui revient aux infrastructures et à la culture de la région", clame David Bagnoud, membre du conseil d'administration du Casino, vendredi dans le 19h30.

Les autres candidats sont situés en plaine. A Sion, les gabarits ont déjà été installés, avant même le dépôt d'un dossier. "On est au milieu du canton, c'est bien desservi par les transports publics et avec une sortie d'autoroute à proximité. Il y a aussi l'exploitant, à savoir le Grand Casino de Lucerne, qui possède plus de 100 ans d'expérience dans le domaine", argue Gilles Florey, membre du conseil d'administration de VF Invest AG.

Mercredi dernier, l'assemblée primaire de Saxon a accepté de vendre un terrain à la société de Christian Constantin pour un montant d'environ 3 millions de francs. Si le promoteur valaisan ne décroche pas la concession d'exploitation, le terrain retournera à la commune.

Dans cette course, le promoteur et président du FC Sion avance plusieurs pions à la fois. "Nous avons deux possibilités qui peuvent être Saxon ou Martigny", confirme Christian Constantin au 19h30.


Les concessions octroyées aux casinos expirent fin 2024. En Valais, ils sont quatre à se battre pour obtenir une place / 19h30 / 2 min. / vendredi à 19:30



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La BBC dresse le portrait de Lisa Walker, qui a souffert d’une addiction aux jeux d’argent pendant des années avant de fonder une association d’aide aux femmes dans cette situation.

« J’ai gagné 127 000 livres sterling (152 000 euros) en une nuit. Ce fut la pire nuit de ma vie parce que c’est à ce moment que mon addiction a vraiment commencé à devenir hors de contrôle », raconte Lisa Walker à la BBC. Cette Britannique de 49 ans, mère de deux enfants, a souffert d’une addiction aux jeux pendant plus de dix ans avant de fonder sa propre association pour aider les femmes qui se trouvent dans la même situation.

Une addiction qui envahit toute sa vie

Son besoin de miser de l’argent n’a fait qu’empirer lorsque, à l’approche de la trentaine, elle a gagné une très grande somme d’argent en une seule nuit, en jouant au poker. Le casino l’incite alors à revenir en lui offrant des boissons et des repas gratuits. Elle a pris l’habitude d’y aller très souvent, et jouait presque tous les jours. « C’est arrivé à un stade où je n’avais plus du tout conscience de la valeur de l’argent. »

Elle a finalement perdu l’intégralité des sommes qu’elle avait gagnées, tout comme sa maison qu’elle avait fait hypothéquer. Elle a dû vivre à l’hôtel avec ses enfants âgés à l’époque de 10 et 11 ans.

C’est après ses 45 ans et un mariage à Las Vegas où elle a passé toute la fête dans un casino, que Lisa Walker a décidé de se rendre à une réunion de joueurs anonymes. Elle a constaté qu’elles n’étaient que deux femmes pour 35 hommes.

Une campagne de prévention qui vise les femmes

Depuis, elle a fondé son groupe de parole réservé aux femmes, l’association Gamble Aware, et elle travaille dans la prévention contre les jeux d’argent. Son association diffuse actuellement à la télévision britannique une campagne de prévention. 500 000 femmes pourraient être concernées par cette addiction au Royaume-Uni.

La BBC rappelle les signes qui peuvent aider à déceler un rapport toxique aux jeux d’argent : le fait de parier au-delà de ses moyens, d’emprunter de l’argent pour le miser, de perdre la notion du temps, d’être stressé ou de culpabiliser, ou encore de se cacher de ses proches.

(source : ledauphine.com)

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Sous la pression du président chinois, Xi Jinping, les autorités locales se sont lancées dans une campagne de répression contre le blanchiment d’argent.

Un magnat des casinos de Macao a été arrêté, dimanche 30 janvier, deux mois après son plus puissant rival, nouveau tour de vis des autorités chinoises contre un secteur qui brasse chaque année des milliards de dollars.

Chan Wen-ling est le fondateur de Tak Chun Group, le deuxième plus gros junket de Macao. Un « junket » est un intermédiaire qui facilite la venue dans les casinos de Macao des joueurs en leur servant à la fois de tour-opérateur et de prêteur. M. Chan est également le patron du groupe d’hôtels et de casinos Macau Legend Development, dont les actions à la Bourse d’Hongkong ont chuté de près de 30 %, lundi, après l’annonce de son arrestation.

En novembre, Alvin Chau, patron du plus gros junket de Macao, Sun City, avait lui aussi été arrêté par la police du territoire. Il est accusé, avec dix autres dirigeants de son groupe, d’avoir monté une plate-forme illégale de jeux d’argent en ligne aux Philippines et d’y avoir attiré des clients chinois.

Des soupçons de collaboration entre les deux rivaux

M. Chan a été arrêté pour des faits en lien avec ceux qui sont reprochés à M. Chau, a fait savoir la police de Macao lors d’une conférence de presse. « Même si les deux opérations visent deux groupes différents, nous disposons de suffisamment de preuves pour démontrer qu’ils collaborent », a-t-elle affirmé.

Macao, ancienne colonie portugaise, est le seul endroit de Chine où le jeu est autorisé et dispose du plus grand rassemblement de casinos au monde. L’immense majorité des joueurs viennent de Chine continentale, d’où ils sont amenés par des junkets, comme Suncity et Tak Chun.

Pendant des décennies, le magnat des casinos Stanley Ho a détenu le monopole sur l’industrie locale des jeux. Mais en 2002 les autorités ont accueilli cinq nouveaux concurrents, qui ont chacun obtenu des concessions de vingt ans. Un délai raccourci à dix ans depuis cette année pour les nouvelles licences.

Avant la pandémie, de nombreux riches fonctionnaires et entrepreneurs chinois venaient s’encanailler à Macao, pariant sans compter et contournant les strictes lois chinoises, qui limitent la quantité d’argent liquide pouvant être emmenée à l’étranger. Mais sous la pression du président chinois Xi Jinping, les autorités locales se sont lancées dernièrement dans une campagne de répression contre le blanchiment d’argent et ont accru leur supervision des casinos.

(source : lemonde.fr/AFP)

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Christian Constantin s'est rapproché de son objectif de construire son propre casino dans le Bas-Valais. L'assemblée communale de Saxon a approuvé mercredi soir la vente d'un terrain à la société du président de Sion.

La commune de 6000 habitants a approuvé la vente de la parcelle d'environ un hectare pour près de trois millions de francs par 137 voix pour et 122 voix contre. Le président de la commune de Saxon, Christian Roth, a confirmé jeudi les informations des médias régionaux. Le vote s'est déroulé à bulletin secret.

Si Christian Constantin n'obtient pas la concession d'exploitation, le terrain reviendra à la commune. La Confédération décidera probablement en octobre 2023 de l'attribution des concessions de maisons de jeu.

«Un casino à Saxon est une chance», a déclaré le président de la commune. Il a rappelé qu'entre 1996 et 2002, la commune avait réalisé environ 15,6 millions de recettes avec l'ancienne salle de jeux. Avec ce montant, la commune avait pu réaliser des investissements importants comme la salle polyvalente ou des infrastructures pour la petite enfance. «Le casino permettrait également de créer plusieurs dizaines d'emplois», précise Christian Roth.

L'histoire du casino

Le terrain sur lequel le nouvel édifice doit être construit se trouve à proximité du terrain sur lequel se trouve l'ancien casino de Saxon. Celui-ci a été ouvert en 1847 et était à la fin du XIXe siècle l'un des plus grands casinos d'Europe.

Après l'interdiction des jeux de hasard par les autorités fédérales, le casino avait été fermé en 1877 et rouvert entre 1996 et 2002. En 2008, la commune avait racheté le bâtiment et différents opérateurs y ont proposé des spectacles et autres divertissements.

(source : blick.ch/ATS)

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2 min - RTS - Zoom - Les casinos sont-ils d'intérêt public?



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5 min - Les coûts sociaux des casinos: interview de Dimitri Kohler



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Le grand groupe américain de casinos Wynn Resorts va développer pour «plusieurs milliards de dollars» un gigantesque complexe aux Emirats arabes unis, où les jeux d'argent sont toujours officiellement interdits, ont annoncé mardi une entreprise et les autorités locales.

Le richissime Etat musulman du Golfe est devenu ces dernières années une importante destination touristique. En particulier Dubaï, l'un des sept émirats qui le composent, réputé pour ses tours géantes et son goût du luxe. Ce projet de Wynn Resorts, le «premier» au Moyen-Orient, sera érigé sur l'île artificielle Al-Marjan, située dans l'émirat de Ras el-Khaïmah, ont annoncé l'autorité locale de l'hôtellerie et le promoteur immobilier Marjan. Ce complexe comprendra notamment «un hôtel de luxe de plus de 1000 chambres» ainsi qu'un «vaste choix de divertissements», dont «une zone de jeux», selon un communiqué commun, qui ne précise pas s'il s'agit de casinos. La loi émiratie interdit officiellement les jeux d'argent.

«Jeu responsable»

Wynn Resorts est un grand groupe hôtelier possédant deux casinos à Las Vegas, où l'entreprise est basée. L'annonce de mardi intervient alors que Ras el-Khaïmah cherche à développer son secteur du tourisme avec l'ambition de «créer un cadre solide qui garantira un jeu responsable». Ni cette autorité locale, ni l'entreprise Marjan n'ont répondu aux demandes de précision de l'AFP portant sur ce complexe et son espace de «jeux», qui doivent voir le jour en 2026.

En 2020, les Emirats, dont 90% de la population est composée d'étrangers, ont fait passer une série de réformes libérales dans le but d'attirer les expatriés et d'améliorer leur image de pays pétrolier conservateur. Le gouvernement a autorisé les couples non-mariés à vivre ensemble, a assoupli les restrictions sur l'accès à l'alcool et a décidé de passer à un week-end à l'occidentale, du samedi au dimanche. Le vendredi, jour de la grande prière musulmane, reste le premier jour du week-end dans tous les autres pays du Golfe.

(source : lefigaro.fr/AFP)

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Au terme d’un vote à bulletin secret, l’assemblée primaire de Saxon a accepté, par 137 oui contre 122 non, de vendre une parcelle à la société Christian Constantin SA pour construire un nouveau casino.

C’est au terme d’un vote à bulletin secret, demandé par près de 100 personnes sur les 260 citoyennes et citoyens présents, que l’assemblée primaire de Saxon a décidé de soutenir le projet de retour d’un casino à proximité du casino historique.

Dans les faits, par 137 oui contre 122 non, signe que le sujet ne fait pas l’unanimité à Saxon, l’assemblée primaire a accepté que la commune vende à la société Christian Constantin SA une parcelle de 9’988 m2, sur laquelle se trouve l’ancien terrain de football, pour un montant de 3 millions de francs (300 francs le m2).

La procédure, dont le prochain objectif est désormais d’obtenir une concession pour un nouveau casino à Saxon, peut donc se poursuivre sans attendre.

(source : lenouvelliste.ch/OLIVIER RAUSIS)

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Le défi sera de récupérer tous les clients perdus en trois ans.

Le casino Campione d'Italia rouvre ses portes à midi, après 42 mois d'arrêt. Après avoir été déclaré en faillite, puis annulé grâce à un pourvoi en cassation, le casino a également dû faire face à la pandémie, ce qui a retardé de trois semaines la réouverture, prévue pour le Nouvel An.

Enfin, Les portes de l'immense bâtiment construit par Mario Botta sur les rives du Ceresio s'ouvriront aux joueurs qui, on l'espère, reviendront dans l'enclave après avoir passé ces dernières années dans les autres casinos italiens et surtout dans ceux du canton du Tessin, en particulier Lugano et Mendrisio, qui, sans la concurrence de Campione, ont vu leurs affaires prospérer ces trois dernières années.

"Depuis le mois de juin dernier, lorsque le tribunal de Côme a donné son feu vert à la réouverture, l'administrateur unique Marco Ambrosini a construit et mené, jour après jour, un parcours complexe pour mettre en place toutes les pièces nécessaires pour atteindre cet objectif, comme le rappelle une note - La maison de jeu explique dans une note publiée hier - Au cours des activités de ces mois visant à la réouverture, l'entreprise a été assistée par une équipe multidisciplinaire de professionnels. La réouverture du Casino, a-il encore souligné, est un objectif collectif, auquel les syndicats, avec lesquels ces derniers mois le nouveau contrat de travail a été rédigé, ont joué leur rôle. Il s'agissait d'une étape fondamentale, puisque les employés ont accepté un salaire de base de 3 600 francs bruts, soit 3 400 euros, avec la possibilité d'une augmentation de 10 % en fonction des différentes tâches. Leur sacrifice a permis de réduire le coût du personnel, qui est passé sous la barre des 9 millions d'euros par mois, soit beaucoup moins que les 11 millions prévus dans le Business plan. "Le nouveau contrat de travail reprend les éléments fondamentaux de flexibilité et de maîtrise des coûts prévus par le plan industriel approuvé par le tribunal, et nécessaires pour assurer l'efficacité, la fonctionnalité et la durabilité du casino - poursuit le casino dans sa note - Après la signature du contrat de travail, l'entreprise a lancé en novembre une campagne d'embauches, recueillant 663 candidatures pour 174 postes à pourvoir. Au cours du mois de décembre, les deux commissions nommées par la société à cet effet ont sélectionné le nouveau personnel".

Ces derniers mois, le nouveau statut de la société et le texte de la nouvelle convention régissant les relations entre les propriétaires, c'est-à-dire la municipalité de Campione d'Italia, et la société qui gère le casino, ont également été rédigés. Comme prévu dans le plan approuvé par le tribunal, les transferts du casino à la municipalité au cours de la période 2022-2026 seront compris entre 500 000 € (2022) et 2,5 millions € (2026). Ainsi, l'époque où les transferts annuels dépassaient les 30 millions d'euros est révolue. "Avec la réouverture du Casino, la zone de Campione, après des années de grande souffrance, et consciente des erreurs du passé, reprend espoir en l'avenir".

(source : ilgiorno.it/ROBERTO CANALI)

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Mardi 25 janvier 2022, la société Jocs SA a dévoilé le futur casino qui devrait ouvrir à Andorre-la-Vieille à l'automne prochain. Découvrez le projet.

Un air de Las Vegas à Andorre-la-Vieille ! Mardi 25 janvier 2022, la capitale de la Principauté a dévoilé le projet du tout premier casino andorran. Cet établissement de loisirs s’appellera « Unnic » et devrait ouvrir ses portes à l’automne prochain.

Un casino de 10 étages

Ce nouveau casino se situera sous la Plaça del Poble. Son toit sera directement relié à la partie supérieure de l’Avinguda Meritxell.

Le bâtiment sera haut de 10 étages (trois étages de parking, deux pour le jeu et les autres seront utilisés pour les spectacles, les animations et la restauration) pour une surface totale de 8 300 m². Le bâtiment disposera également d’espaces VIP.

Côté design, Pere Espuga, l’un des architectes impliqués, a décrit le futur lieu comme « abstrait, élégant et intemporel ». Pour sa part, l’architecte Manuel Clavel a indiqué que la façade ultramoderne sera « une métaphore du paysage d’Andorre », celle-ci intégrant des courbes rappelant les reliefs pyrénéens.

Plus de 250 000 visiteurs attendus pour les débuts

Jocs SA, la société qui porte le projet, voit les choses en grand avec plus de 250 000 visiteurs attendus lors de la première année d’exploitation. Pour cela, le PDG Marc Martos a indiqué que le casino appliquera une formule « 80-20 ».

Concrètement, 80 % du lieu sera dédié aux divertissements et aux loisirs, tandis que les 20 % restants concerneront les jeux du casino. « Nous voulons offrir les meilleurs spectacles gastronomiques, musicaux et artistiques et nous le ferons dans des espaces créés avec une architecture d’avant-garde », a-t-il assuré lors de la présentation du projet.

La société andorrane a également dévoilé une vidéo du futur casino. Celle-ci a notamment été relayée par le média Poble Andorrà :

Un projet à 25 millions d’euros

Le coût de ce projet pharaonique – financé en intégralité par des fonds privés – s’élève à 25 millions d’euros. Pour le faire fonctionner, 200 personnes seront recrutées. « Et jusqu’à 500 emplois indirects devraient être générés dès le départ », précise la Ville d’Andorre-la-Vieille.

L’ouverture prochaine de ce casino est également vue d’un bon œil par le gouvernement andorran. En effet, ce lieu sera ouvert 365 jours par an et pourrait permettre de « désaisonnaliser » la Principauté.

(source : actu.fr/Thibaut Calatayud)

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Le Conseil fédéral a choisi d’augmenter le nombre de concessions fédérales en matière d’exploitation de maisons de jeu. En Valais, deux projets sortent au grand jour.

Après Crans-Montana et Zermatt, le Valais pourrait se doter d’un casino supplémentaire dès 2025. Deux projets visent à obtenir l’une des futures concessions attribuées par la Confédération. Ce mercredi, la commune de Saxon soumettra à son Législatif la vente d’une parcelle communale d’un hectare en vue de la construction d’une nouvelle maison de jeu par la société Christian Constantin SA, révèle «Rhône FM». L’édifice verrait le jour à proximité du casino historique, qui n’accueille plus de joueurs de hasard depuis 2001.

L’autre projet concerne, lui, la ville de Sion. Celui-ci pourrait voir le jour à quelques centaines de mètres du stade de Tourbillon. Si le projet aboutit, l’exploitation de cette maison de jeu devrait être assurée par la société Grand Casino Luzern AG qui gère le casino lucernois, comme le dévoile «Le Nouvelliste». L’idée de construire un casino dans le chef-lieu valaisan émane de Stefan Volken. Depuis 2020, le Haut-Valaisan est président du HC Viège.

(source : 20min.ch)

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ORYX Gaming, une société du Bragg Gaming Group, a conclu un accord pour fournir sa gamme de machines à sous exclusives à l'opérateur suisse Casino Interlaken, marquant ainsi l'expansion du fournisseur de jeux en ligne sur le marché.

L'accord permet aux joueurs de la marque en ligne de Casino Interlaken, StarVegas.ch, d'accéder à la bibliothèque de machines à sous d'ORYX ainsi qu'à sa sélection de contenu exclusif RGS provenant de fournisseurs tels que GAMOMAT, Golden Hero, Kalamba Games, Giveme Games et Peter & Sons.

L'accord a été rendu possible par le certificat ISO/IEC 27001 d'ORYX, qui souligne l'engagement du fournisseur en matière de sécurité de l'information et constitue une condition préalable à l'entrée sur le marché en ligne suisse réglementé qui a ouvert en janvier 2019.

(source : zonebourse.com/S&P Capital IQ 2022)

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Lors du tirage de l’EuroMillions vendredi, les gagnants ont chacun remporté la somme de 1’031’651 francs. Trois Vaudois font partie du lot.

Si personne n’a trouvé la combinaison gagnante à l’EuroMillions cette fin de semaine, les loteries partenaires du tirage ont annoncé une «pluie de millionnaires». Et celle-ci est réjouissante pour la Suisse. Notre pays compte six gagnants, dont quatre Romands. Vendredi, ils ont chacun remporté la somme de 1’031’651 francs.

Trois des bulletins romands gagnants ont été validés dans le canton de Vaud, tandis que l’autre a été joué sur le site de jeux en ligne de la Loterie Romande, annonce cette dernière dans un communiqué. Les nouveaux millionnaires disposent de 6 mois, à compter de la date du tirage, pour se manifester auprès de la Loterie Romande. Ils y seront accueillis en toute discrétion, conformément à la politique de confidentialité, et pris en charge personnellement. Leur anonymat sera garanti.

L’an dernier, Swiss Loto et EuroMillions ont fait 35 nouveaux millionnaires en Suisse. Le dernier jackpot sur le sol helvétique remonte à février 2021. Un chanceux avait alors empoché 228 millions de francs au tirage européen.

(source : 20min.ch/comm/lvb)

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Le mercredi 22 décembre 2021, Casino Barrière Montreux a lancé sa nouvelle marque de casino en ligne en Suisse, GAMRFIRST et a bénéficié d'un week-end d'ouverture très productif pendant les fêtes de Noël. Le lancement a fait l'objet d'une grande célébration et d'une grande fanfare au Casino Barrière Montreux, mondialement connu, situé sur les rives du lac Léman en Suisse. GAMRFIRST utilise le logiciel GaminGenius™ de Gamanza, certifié ISO 27001, qui comprend un cadre de conformité complet, une chambre forte de données réglementaires, une passerelle de paiement et un CRM en temps réel.

GAMRFIRST utilise également le moteur de règles sophistiqué de Gamanza pour automatiser les actions basées sur divers comportements et seuils, garantissant que l'opérateur peut facilement administrer ses politiques strictes de gestion des risques et de jeu responsable. La marque GAMRFIRST est le reflet d'un casino moderne avec une approche centrée sur le consommateur, qui a concentré son énergie sur l'assistance aux joueurs et l'expérience de jeu mobile. À l'avenir, le Casino Barrière Montreux cherchera à promouvoir de nouvelles fonctionnalités de gamification et des offres de fidélité hybrides entre les opérations terrestres et en ligne.

Jérôme Colin, directeur général du Casino Barrière Montreux, a déclaré : "Le lancement de notre site de casino en ligne GAMRFIRST est l'aboutissement d'une collaboration engagée entre les équipes du Casino Barrière Montreux et du siège de Barrière, soutenue par une relation étroite avec notre partenaire technique Gamanza, leader sur le marché suisse. Quant au Casino Barrière Montreux, notre ambition forte avec GAMRFIRST est d'offrir à nos clients une expérience de jeu unique basée sur les standards élevés du Groupe Barrière, positionnant ainsi la marque comme l'une des principales références sur le marché suisse.

Alexandre Desseigne-Barrière, Directeur de la Stratégie et du Développement du Groupe Barrière, a déclaré : "Nous sommes très fiers de pouvoir offrir un service numérique complémentaire à notre casino de Montreux et avec l'aide de notre partenaire Gamanza, nous permettons à davantage de résidents suisses de découvrir l'univers des jeux Barrière avec la même attention forte portée au jeu responsable. Le lancement de GAMRFIRST, un an après le lancement de notre plateforme de paris sportifs en ligne BarrièreBet en France, s'inscrit dans la stratégie de développement du groupe, notamment dans le domaine du numérique où nous souhaitons toucher de nouveaux publics.

Robert Civill, Chief Commercial Officer de Gamanza, a déclaré : "Nous sommes très fiers de ce partenariat. Le Casino Barrière de Montreux est un établissement de renommée mondiale et le Groupe Barrière est une marque prestigieuse à l'échelle internationale, c'est donc une grande fierté pour Gamanza. C'est fantastique de travailler avec une organisation aussi professionnelle et le lancement de GAMRFIRST était une façon parfaite pour notre équipe de célébrer la fin de l'année 2021. Maintenant, nous sommes vraiment enthousiastes à l'idée d'aider la marque à se développer en 2022 et au-delà !"

(source : gamanza.com)

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Trois ans après la légalisation des jeux d’argent en ligne, l’établissement est le onzième de Suisse à lancer sa plateforme. Son directeur, Jérôme Colin, explique les raisons de ce délai.

Plus besoin de franchir la porte du Casino de Montreux pour actionner ses machines à sous. Désormais, ces dernières pourront aussi être maniées à coups de clics. Chapeauté par le groupe français Barrière, l’établissement de la Riviera a inauguré jeudi sa plateforme Gamrfirst.ch, qui proposera 80 jeux de toutes sortes. Selon la direction, une vingtaine de personnes ont été engagées en Suisse pour le lancement et le fonctionnement de ce volet numérique.

Cette nouveauté aura mis du temps à voir le jour, puisque les premiers casinos en ligne helvétiques sont apparus en 2019 déjà, lors de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi fédérale sur les jeux d’argent. Jérôme Colin, directeur général du Casino Barrière de Montreux, s’explique.

Le Casino de Montreux est le 11e de Suisse à franchir ce pas. Pourquoi avoir autant attendu avant de vous lancer?

Nous avons souhaité être attentifs à ce qui a été mis en place ailleurs, surtout en matière de protection des joueurs. Nous voulions prendre notre temps pour coller parfaitement aux attentes de la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ).

Vous avez en quelque sorte joué la prudence…

C’est cela. Aucune erreur ne doit être faite dans l’exploitation des casinos. D’autant plus que les concessions pour les établissements terrestres doivent être renouvelées à fin 2024. Comme nous souhaitons conserver la nôtre, nous avons tout intérêt à sécuriser au mieux cette nouvelle prestation.

D’accord, mais ne craignez-vous pas que vos concurrents déjà en ligne aient gagné du temps et de l’argent par rapport à vous?

Du temps peut-être. Mais, en termes de rentabilité, nous observons que les retombées du jeu en ligne ne sont pas si importantes que cela. Et puis il ne faut pas oublier que le groupe Barrière reste le leader européen dans le domaine des maisons de jeu terrestres. Du haut de ses 110 ans d’existence, il bénéficie d’un savoir-faire historique. Cette renommée devrait nous aider à conquérir des parts de marché.

En 2020, le Département fédéral de justice et police évaluait les bénéfices des jeux d’argent à 250 millions de francs par année. Financièrement, quel est votre objectif en lançant cette plateforme?

Nous avons un chiffre, mais je ne souhaite pas le communiquer.

Qui dit casino en ligne, dit peut-être plus grande facilité d’accès pour les personnes dépendantes au jeu. Qu’est-ce qui est prévu pour limiter ces risques?

Premièrement, dès qu’une personne s’inscrit sur le site, son identité, son adresse et son âge sont immédiatement contrôlés. Elle ne peut pas jouer d’argent avant de nous avoir fourni tous les documents. Nous vérifions qu’elle ne fasse pas partie du registre national des personnes sous le coup d’une interdiction de casino et de loterie en ligne. Pour les autres joueurs, il ne s’agit pas d’attendre qu’ils deviennent dépendants. Notre plateforme dispose d’une équipe de trois psychologues qui sont spécialement chargés d’observer les comportements et d’anticiper une éventuelle addiction, conformément aux dispositions validées par la CFMJ.

Et si un tel cas de figure se présente?

Le service clients et les psychologues peuvent entrer en contact à tout moment avec ces joueurs. Ils ont la possibilité de les bloquer immédiatement si ces derniers ne jouent pas de manière adéquate.

Une étude du Groupement romand d’étude des addictions révèle que les casinos en ligne attirent surtout un public jeune, de 18 à 39 ans. S’agit-il de votre cible, quand on sait que votre plateforme sera promue par l’influenceuse Kristina Bazan?

Les jeunes ne constituent pas spécifiquement la cible principale de notre communication. À l’instar de notre casino terrestre, nous visons le grand public. Qu’il ait 18 ou 78 ans, un client reste un client. Et, par expérience, nous remarquons que la classe d’âge qui a le plus grand potentiel économique pour le jeu est celle qui va de 35 à 45 ans.

(source : 24heures.ch/Rémy Brousoz)

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Face à une offre étrangère illégale, les établissements de jeux, bousculés par la pandémie, demandent la légalisation des casinos en ligne pour se développer.

Au casino de Forges-les-Eaux en Normandie, où d’imposantes machines à sous lumineuses ont depuis longtemps remplacé les bandits manchots qui crachaient des pièces, Partouche, deuxième casinotier français, investit dans son métier traditionnel tout en espérant, comme ses concurrents, la légalisation des casinos en ligne.

Comme tout le secteur, il a dû fermer ses portes « quatre-vingts jours pendant le premier confinement puis deux cents jours entre l’hiver dernier et le printemps, et a repris une activité très contrainte par le pass sanitaire », indique Fabrice Paire, président du directoire. « Aujourd’hui, les casinos français subissent une baisse de fréquentation de 30 à 35 %, qui se retrouve moins dans l’activité, puisqu’on est aux alentours de – 15 à – 20 %. Car l’essentiel des clients qui ne reviennent pas sont des clients occasionnels, à petit budget de jeu », précise Ari Sebag, PDG du domaine de Forges.

« Extension électronique de l’offre »

Le site de Forges-les-Eeaux tourne en partie au ralenti : si les machines à sous du casino ont retrouvé leurs habitués, en semaine l’hôtel ne reçoit plus ni séminaires ni évènements d’entreprises, seule la brasserie accueille des convives et aucun évènement n’est programmé avant un dîner-spectacle le 29 janvier. En application des protocoles sanitaires, les tables de jeu (poker, roulette, etc.) ont été espacées et des machines à sous ont été retirées.

Aujourd’hui, Partouche, comme ses concurrents regroupés au sein du syndicat patronal Casinos de France, rêve de pouvoir proposer une offre de « jeux à distance », qui serait « une extension électronique de l’offre de chaque casino », explique Philippe Bon, délégué général.

Chaque établissement proposerait un nombre de tables de jeu et de machines à sous virtuelles égal à celui qu’il offre en physique. Cela permettrait au secteur de « se moderniser et de reconquérir une clientèle qui, pendant les confinements où les casinos étaient fermés, s’est tournée vers une offre illégale », dit-il. Mais cette proposition devrait faire l’objet d’une expérimentation et d’une modification de la loi.

Car les casinos en ligne sont interdits en France et pourtant, ils sont à portée de clics sur des sites, en général dotés d’une licence de jeu dans un paradis fiscal et souvent d’une filiale basée dans un pays européen complaisant pour le paiement. Wild Sultan, Lucky8, Casino Joka, WinOui, Tortuga, Magicazz, VegasPlus… Ces sites ont largement profité du confinement avec des joueurs français qui peuvent y ouvrir un compte sans difficulté. Et jouer aux jeux de hasard (à la différence des paris en ligne autorisés et contrôlés en France) sur Internet ! Sans même parler des sites illégaux : quand ils sont fermés par les autorités, il s’en recrée aussi vite, le marché étant juteux.

Pour l’Autorité nationale des jeux, qui régule le secteur, les sites de casino en ligne « représentent des risques importants d’addiction », ne proposent pas de « mesures de protection des joueurs et de leurs données personnelles », et il n’existe « aucun recours en cas de non-paiement des gains ». Mais l’ANJ « n’arrive pas à juguler les offres en ligne illégales qui pullulent », estiment les professionnels des établissements qui demandent Et c’est pour ça que les groupes français demandent à pouvoir créer des sites de jeux en ligne : à la fois pour développer leur activité et pour lutter contre une concurrence déloyale.

(source : lanouvellerepublique.fr/AFP)

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Macao a indiqué vendredi que les nouvelles licences de jeux seraient désormais accordées pour 10 ans, la moitié de ce qu'elles duraient jusqu'à présent, les autorités durcissant la réglementation du plus grand rassemblement de casinos du monde. L'industrie du jeu du territoire chinois, qui brasse des milliards de dollars, est sur des charbons ardents depuis que les autorités ont annoncé en septembre dernier un projet pour restructurer le secteur.

Vendredi, les six géants des casinos implantés dans la ville ont eu un premier aperçu de ce que seraient les nouvelles règles, lorsque le Conseil exécutif de Macao a expliqué que les jeux ne devaient pas nuire à la «sécurité nationale» de la Chine.

Selon le texte de loi proposé, le nombre de concessions de jeux attribuées restera à six mais «ne dépassera pas 10 ans», selon les autorités. Dans des situations exceptionnelles, les concessions «peuvent être rallongées au maximum de trois ans». Les concessions doivent être renouvelées en juin.

L'industrie des jeux assommée par le Covid-19

L'ancienne colonie portugaise est le seul endroit de Chine où les jeux d'argent sont autorisés. Avant la pandémie, elle gagnait plus d'argent en une semaine que Las Vegas (États-Unis) en un mois. Pendant des décennies, le magnat des casinos Stanley Ho a détenu le monopole sur l'industrie locale des jeux. Mais en 2002, les autorités ont accueilli cinq nouveaux concurrents, qui ont chacun obtenu des concessions de 20 ans. Le secteur des jeux a alors explosé, pour représenter 24 milliards de dollars (21 milliards d'euros) annuels avant la pandémie.

Les recettes des casinos représentaient quelque 80% des revenus du gouvernement et plus de la moitié du produit intérieur brut de la ville. Environ 82.000 personnes y travaillaient fin 2020 - presque un cinquième de la population active. Riches fonctionnaires et entrepreneurs venaient s'y encanailler, pariant de fortes sommes d'argent et contournant les strictes lois chinoises qui limitent la quantité d'argent liquide pouvant être emmenée à l'étranger. Sous la pression du président chinois Xi Jinping, les autorités ont réprimé le blanchiment d'argent et les escapades de personnalités, et Macao a tenté ces dernières années de diversifier son économie.

L'industrie des jeux a été assommée par le Covid-19, qui a interrompu presque toutes les arrivées de Chine, d'où viennent la plupart des joueurs. Les revenus des jeux ont plongé à 7,5 milliards de dollars (6,5 milliards d'euros) en 2020 à cause de la pandémie. Ils sont remontés un peu en 2021, à 10,8 milliards de dollars, soit toujours 70% de moins qu'avant le coronavirus.

(source : lefigaro.fr/AFP)

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“Ces gens avaient déjà perdu tellement d’argent. J’avais pitié”. Un croupier a donc laissé certains joueurs gagner au casino de Middelkerke. Jugé aujourd’hui, l’homme a avoué, entre autres, qu’à la table de roulette, il n’a misé ses jetons qu’après que la boule ne soit déjà tombée sur le numéro gagnant. Quatre membres du personnel et dix joueurs auraient ainsi pillé 2.841.737,77 euros. Au moins! “S’il se grattait les cheveux, je devais aller à sa table”, a avoué l’un des tricheurs qui est aujourd’hui en procès.

Je n’y peux rien s’il m’a favorisé, n’est-ce pas?” C’est de cette manière qu’Yves D.M. (53 ans) s’est exprimé lors d’un interrogatoire de police. Pendant des années, l’homme de Molenbeek-Saint-Jean a régulièrement tenté sa chance au casino de Middelkerke. Selon la comptabilité de l’établissement, le personnel a versé plus de 415.000 euros à l’heureux parieur. Le joueur a remis en question ce montant aux enquêteurs. “Mon compte en banque est en dessous de zéro. Je n’ai même pas ma propre maison”.

Suspicion

C’est le comportement du même Yves D.M. qui a poussé la gérante du casino de Middelkerke à se rendre à la police au printemps 2015. Chaque semaine, la femme vérifie les revenus de la semaine précédente. Lors de son contrôle du lundi 13 avril 2015, elle a un mauvais sentiment au sujet des chiffres des gros joueurs. “Quelque chose ne colle pas” a-t-elle dit.

La femme se place devant un écran et regarde les images des caméras de surveillance suspendues au-dessus des cinq tables de jeu. 57 heures d’images animées sans son à éplucher! Inquiet, le manager rembobine plusieurs fois sur une partie de roulette américaine qui s’était déroulée la veille.

Images éloquentes

Il avait vu juste. Le joueur, Yves D.M., avait jeté un jeton de 100 euros sur la table à 15 heures 35. Elle voit comment il fait mine de désigner nonchalamment un ou des numéros en direction du tableau où les paris doivent être placés. Ses mouvements du suspect sont si aléatoires que celui-ci aurait pu tout aussi bien pointer le plafond. La femme voit ensuite comment l’un de ses croupiers, Pascal V. (NDLA. aujourd’hui 48 ans), échange le jeton de 100 euros contre une série de jetons plus petits. Il ne les sort de la banque derrière lui qu’après que la balle ne soit déjà tombée. Elle a du mal à le croire, mais le croupier met les jetons sur le numéro qui était déjà sous la boule.

Normalement, le croupier indique clairement la fin des paris avant que la balle ne soit tombée. Cela se fait avec les mots bien connus “Rien ne va plus”, accompagnés d’un mouvement de balancier du bras. Pour le manager, il n’y a aucun doute: son employé a d’abord regardé où la balle était tombée et a seulement ensuite placé la mise victorieuse sur le tableau. Plus de jeu de hasard. Pure fraude. Escroquerie.

Le manager déniche toutes les images disponibles du joueur concerné. Elle remarque qu’Yves D.M. joue normalement toujours sur les numéros 14 et 17. Sauf quand il est à la table de Pascal V. ou de sa collègue Karine G. (NDLA. aujourd’hui 56 ans)! Dans ces cas-là, Yves D.M. gagne sans aucune exception. Le directeur compare alors les horaires de travail des croupiers avec les visites d’Yves D.M. Il s’avère que ce dernier ne se rend au casino que lorsqu’un des deux travailleurs était présent. Un examen plus approfondi des images des caméras montre des pratiques similaires avec quatre autres joueurs.

Signaux secrets

Le manager appelle la police. Selon l’enquête volumineuse, quatre membres du personnel et dix joueurs auraient uni leurs forces pendant des années pour escroquer le casino de l’intérieur. La fraude était systématique: le personnel se passe la main dans les cheveux pour signaler aux tricheurs qu’ils peuvent venir à leur table. C’était leur signal pour dire: “La voie est libre”. Celui qui était à la table savait ce qui allait se passer.

Stratagème

Les employés bloquaient ensuite la vue de leurs collègues qui n’étaient pas impliqués dans la combine. Puis le même schéma se répète: le croupier lance la balle dans le cylindre et l’invité attend très longtemps avant de jeter un billet ou un jeton de cent euros sur la table.

Les croupiers avaient aussi délibérément fait en sorte qu’il n’y ait pas de piles de jetons sur leurs tables. Ce qui est pourtant obligatoire. Cela signifie qu’ils devaient prendre des jetons de la banque derrière eux. Cela a permis de faire d’une pierre deux coups. Les employés du casino gagnaient du temps et pouvaient voir où la boule s’arrête. Ce n’est qu’ensuite qu’ils misaient les jetons.

Bouche fermée

Sur les images de surveillance, les enquêteurs et un expert néerlandais en jeux de hasard remarquent également que certains joueurs n’ouvraient même pas la bouche lorsqu’ils pariaient. Comment pourraient-ils dire au croupier où mettre les jetons? Normalement, ils doivent donner quatre indications: le numéro, la couleur (rouge ou noir) ainsi que la mise à cheval et sur les voisins ou non.

Dissimulation

Les règles du jeu de cartes, le blackjack, semblent aussi avoir été bafouées. Le croupier regardait les cartes avant de les distribuer aux joueurs. Les joueurs ne peuvent pas réellement perdre de cette façon. La fraude a pu rester sous le radar pendant longtemps parce que seuls les gros gains des acteurs étaient suivis par le casino.

Par ailleurs, le personnel incriminé enregistrait des paris importants d’autres joueurs au nom des tricheurs. S’ils gagnaient, leurs gains se faisaient beaucoup moins remarquer. De cette manière, on a l’impression que l’escroc mise beaucoup plus d’argent et que ses gains sont donc beaucoup plus faibles.

Les parts du gâteau

Le casino a calculé qu’il avait versé un total de plus de 3,2 millions d’euros aux dix tricheurs. Le tribunal les poursuit pour “seulement” 2,8 millions d’euros.

L’un des joueurs a expliqué lors d’un interrogatoire comment il devait diviser l’argent gagné frauduleusement. Il a déclaré qu’il pouvait garder un septième de la somme. Il devait mettre le reste dans une enveloppe et la déposer dans la boîte aux lettres d’un employé du casino qui vivait à Ostende. Un autre tricheur a affirmé qu’il avait été autorisé à garder une partie similaire de l’argent.

Pour les enquêteurs, il semble logique que les organisateurs se soient gardés la plus grosse part du gâteau. Les joueurs sont parfaitement interchangeables dans ce système frauduleux. Ils ne sont pas en mesure d’exiger plus d’argent. Selon le casino et les tribunaux, la fraude a duré 14 ans. Elle aurait commencé en 2002 ou même en 2001.

Dénonciations

Certains des acteurs clés ont fini par avouer leur culpabilité au cours de l’enquête qui a duré des années. Le croupier, Pascal V., par exemple, déclare lors d’un interrogatoire en 2017 que la tricherie était le fait d’employés du casino et de visiteurs. En plus de ses aveux, il mentionne les noms de trois collègues et d’une série de joueurs. Un ancien collaborateur de Pascal V. raconte aussi à la police que le croupier l’avait déjà approché dans les années 2000 pour savoir “s’il ne connaissait pas un moyen de foutre en l’air le casino?”

Un joueur poursuivi en justice a concédé aux forces de l’ordre qu’un employé du casino lui avait demandé de participer à la fraude dès 2002 dans un café. On lui a dit dès le départ qu’il pouvait faire un profit sur la roulette en misant tardivement. On lui a également conseillé de ne jouer qu’en présence de certains membres du personnel. Le joueur l’a fait et est maintenant en procès à Bruges.

Neveu d’un Diable Rouge

Les joueurs et les membres du personnel impliqués se connaissent et étaient parfois en bons termes.

Par exemple, un joueur régulier de Jette avait invité le croupier Pascal V. et un de ses collègues à un match de football de Premier League anglaise. Il est l’oncle d’un Diable Rouge qui était sur le terrain ce jour-là contre Chelsea. La petite bande belge était accueillie par le père du sportif. Au cours de ce voyage, ils rencontrent également le footballeur vedette en personne. Le collègue de Pascal V. a ensuite publié des photos de cette sortie sur Facebook. La direction du casino de Middelkerke les a vues et en était mécontente. Selon les deux employés du casino, ils ont payé de leur poche le voyage et leur séjour en Angleterre. Ils ont obtenu les billets par l’oncle du Diable Rouge qu’ils fréquentaient au casino.

Démenti partiel

Lorsque toute l’affaire a éclaté en avril 2015, l’oncle du footballeur professionnel était en congé maladie. Lui aussi est maintenant en procès à Bruges.

Selon l’enquête judiciaire, le casino lui aurait versé 218.480 euros lors de ses nombreuses visites dans les salles de jeu à Middelkerke. L’homme, aujourd’hui âgé de 50 ans, a expliqué à la police qu’il est tout à fait possible qu’il ait reçu des gains illégaux lors de parties de roulette. Il a également admis qu’il avait rencontré le croupier, Pascal V., à plusieurs reprises à l’extérieur du casino et qu’ils s’étaient parlé au téléphone. Mais selon lui, ce n’était pas pour fausser le jeu. “Si vous jugez que je misais juste avant que la balle ne tombe, cela n’a jamais été fait en coopération avec le personnel du casino. Je ne suis pas responsable de leurs actions. C’est au croupier de décider quand il faut arrêter de parier” a-t-il déclaré à la police.

A son insu

L’homme souligne également qu’il n’a pas toujours gagné. “J’ai perdu plus que je n’ai gagné.” Il nie avoir été favorisé par le croupier. Pourtant ce dernier a lui-même reconnu le contraire dans son interview de 2017. “Je ne lui ai jamais demandé ça. Je n’avais pas besoin de cet argent” insiste l’oncle du Diable Rouge.

Néanmoins, le casino lui réclame les 218.480 euros. Selon lui, il est totalement invraisemblable que le croupier ait favorisé certains joueurs à leur insu. L’oncle des Diables rouges est le seul des clients du casino poursuivis par la justice à réclamer l’acquittement total.

Jusqu’à ce jour, l’un des membres du personnel dément catégoriquement toute implication. Son travail consistait à surveiller ses collègues. Selon cet homme, il n’a fait que suivre les ordres de la direction et il n’a jamais été question de commettre une fraude dans son chef.

Simple culpabilité

Certaines des personnes concernées demandent au tribunal de Bruges de les déclarer simplement coupables. Cela voudrait dire qu’ils peuvent continuer à vivre en étant condamnés, mais sans recevoir de peine. Ils estiment qu’ils y ont droit car il a fallu plus de six ans avant qu’ils ne soient renvoyés devant le tribunal. Ils considèrent que le délai raisonnable est dépassé. L’un des suspects pense même que sa femme l’a quitté parce que cette affaire traîne depuis trop longtemps.

Une simple déclaration de culpabilité signifie toutefois que les personnes condamnées doivent encore payer pour les dommages causés.

Sommes contestées

À cet égard, les personnes impliquées qui ont fait des aveux (partiels) tirent toutes dans la même direction. Ils qualifient les montants demandés de très exagérés. Certains estiment également que le casino et le tribunal devraient tenir compte de leurs mises et des pertes qu’ils ont subies.

Le casino n’est pas d’accord. Selon lui, ce n’est pas parce qu’un voleur pille d’abord la caisse du supermarché et utilise ensuite l’argent dérobé pour faire des achats dans ce même supermarché, que cela annule le vol.

Durée des enregistrements

Pour leur part, certains suspects doutent que la fraude ait pu durer aussi longtemps. Ils critiquent le fait que le casino ne dispose d’images de surveillance que pour une durée de huit semaines en 2015. Mais selon les termes de la loi, le casino n’est pas autorisé à conserver des images plus longtemps.

Lors de l’audience du mois dernier, le ministère public a demandé deux ans de prison avec sursis pour les membres du personnel, qui ont d’ailleurs tous été licenciés par le casino. Les joueurs risquent dix mois de prison avec sursis.

(source : 7sur7.be/Bjorn Maeckelbergh)

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De superbes établissements de jeu se sont installés au fil du temps à la frontière entre la Suisse et la France. Quels sont les six plus grands casinos à proximité du lac Léman ?

Le Lac Léman : site naturel et lieu de divertissement

Ce territoire possède le plan grand lac d’Europe dont les berges sont situées entre la France et la Suisse. Le château de Chillion, à proximité du lac, est réputé pour avoir inspiré Jean-Jacques Rousseau pour son roman “La nouvelle Héloïse”. Les vignobles de Lavaux à flanc de coteaux sont classés au patrimoine mondial de L’Unesco. Sur la rive française, le bourg médiéval d’Yvoire, surnommé la Perle du Lac, est des plus beaux villages près d’Annecy. Le magnifique château de Ripaille de Thonon-les-Bains est une illustration de l’architecture du 13e siècle. De nombreuses activités sportives sont possibles sur le bassin lémanique. Le ski se pratique dans les grandes stations de sports d’hiver de Haute-Savoie et du Jura. Les randonnées pédestres sont agréables dans les belles forêts avoisinantes. Et pour ressentir le frisson des jeux d’argent, les joueurs peuvent profiter de six casinos emblématiques situés en bordure du lac Léman.

Le Casino d’Evian-les-Bains

Cet établissement de jeu renommé se trouve dans la station thermale d’Evian-les-Bains. Son architecture unique est d’inspiration orientaliste, en rappelant l’église Sainte Sophie d’Istambul. Le casino abrite aussi un magnifique théâtre à l’italienne construit en 1884. Son style architectural néo-classique met en valeur les images du carnaval et de la commedia dell’arte. Son immense plafond rappelle que ce lieu a été fréquenté par une clientèle cosmopolite composée de Suisses, d’Italiens, de Russes et d’Anglais.

La décoration actuelle du casino est d’inspiration africaine dans la salle des machines à sous. Dans les autres salles de l’établissement, le style est plus contemporain. Vous pouvez vous restaurer dans les trois restaurants : “Le Savana” construit sur des pilotis, “Le Baccara” ou “La Table du Baron”. En terrasse, les clients peuvent se détendre avec l’ambiance purple lounge et les concerts. L’offre de jeux est complète avec machines à sous, tables de jeux classiques, Stud Poker, roulette anglaise et française.

Le Casino du Lac Meyrin de Genève

A seulement quelques kilomètres des bords du lac Léman, ce casino du Groupe Partouche accueillent les joueurs à l’intérieur de l’hôtel 4 étoiles Movenpick Hôtel & Casino Geneva. Un grand choix de machines à sous et trois jeux de table sont mis à la disposition de la clientèle. Cette dernière peut profiter des enseignes de luxe à proximité pour faire du shopping. Nous vous conseillons le restaurant japonais “Kamone” et ses délicieux “sushis” et le “Movenpick restaurant” qui sert des spécialités suisses. Des spectacles et des animations musicales sont données fréquemment dans l’enceinte du casino.

Le Casino de Divonne-les-Bains

Cette jolie ville se trouve entre le Jura, le lac Léman et la frontière suisse. Elle est réputée depuis le 19e siècle pour ses cures thermales qui attirent une clientèle cosmopolite. L’établissement, de style “Las Vegas” appartenant au Groupe Partouche, se situe dans un domaine de 65 hectares. L’hôtel a été construit en 1912 dans une architecture néo-classique. Les joueurs pourront profiter de : 245 machines à sous, quatre tables de blackjack, une table de poker ultimate Texas hold’emn et sept tables de roulette. Des tournois de poker sont régulièrement organisés.

Le domaine dispose d’un grand hôtel 4 étoiles avec deux restaurants français : “Le Magic” et “Les Quatre Saisons”, d’un spa et d’une piscine. Les golfeurs pourront utiliser le parcours de 18 trous.

Le Casino de Montreux

Situé sur les rives du lac Léman après Evian-Les-Bains, le casino helvétique de Montreux propose plus de 350 machines à sous et 24 tables de jeu. Cet établissement de grand luxe concurrence l’offre de casino en ligne suisse qui attirent de nombreux joueurs. Les deux excellents restaurants “Le Fouquet's” et “La Mama” servent une cuisine raffinée d’inspiration française, suisse et italienne. Ce casino du Groupe Barrière organise des soirées à thèmes et dîner-spectacles. Lors de votre passage à Montreux, vous pouvez profiter de votre venue pour visiter le district suisse de la Riviera-Pays-d’Enhaut.

Le Casino de Saint-Julien-en-Genevois

A proximité de la frontière suisse, la ville de Saint-Julien-en-Genevois permet de découvrir un cité typique de Haute-Savoie. Pour les touristes, c’est aussi l’occasion de visiter Genève en un jour. Son casino de style contemporain, permet aux passionnés de tenter leur chance sur les nombreuses machines à sous, sur les deux jeux de table et au poker Texas hold’em.

Trois excellents restaurants vous sont proposés : “Le Safran” avec une vue panoramique sur la chaîne du Jura, “Le Maloja” avec une cuisine du monde inspirée et “Le Paradise” avec une ambiance insulaire et colorée. Le centre aquatique Vitam Parc, qui se trouve à proximité, permet de passer une journée dans sa piscine chauffée à 28° C pendant toute l’année. De nombreux toboggans géants raviront les enfants. Des cours d’escalade et d’aqua-gym sont proposés par les professeurs.

Le Casino d’Annemasse

Situé sur la ville frontalière d’Annemasse, cet établissement de jeux appartient au groupe Partouche. Son architecture contemporaine le distingue des constructions classiques de style savoyard. Il se trouve en bordure de la rivière l’Arve et permet d’apprécier un panorama naturel sur la montagne du Salève. Du côté des jeux, vous disposez de 175 machines à sous. Certaines de ces machines sont reliées au réseau Mégapot. Des tables de blackjack, de roulette anglaise et d’ultimate poker complètent l’offre.

Le restaurant “Le Carré d’As” permet de déjeuner et de dîner dans une ambiance rouge et dorée avec vue sur la rivière. Il est ouvert de 12 H à 14 H et de 19 H 30 à 23 H, tous les jours. Vous aurez l’occasion de gouter les excellentes spécialités culinaires de la région des Savoie comme la tartiflette, la fondue et les diots au vin blanc. Le bar “Le Drakkar” permet de se détendre autour d’un verre.

Pour les passionnés de jeu d’argent, cette boucle des six casinos de la frontière franco-suisse permet de découvrir une région alpine entre lac et montagnes. Les passionnés de sport d’hiver pourront également profiter des belles stations de ski du Jura et de la Haute-Savoie.

(source : annecy-ville.fr/Article réalisé en partenariat avec la société Casino Davos)

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EGT Interactive annonce un nouveau partenariat avec mycasino sur le marché suisse des jeux en ligne. mycasino du Grand Casino de Lucerne est un opérateur de niveau 1 et s'est hissé au premier rang en Suisse. Il s'agit d'une réussite importante pour le fournisseur, qui s'assure ainsi une présence plus large sur ce territoire.

EGT Interactive voit un fort potentiel de croissance sur le marché suisse des casinos en ligne, car les joueurs suisses connaissent déjà bien la gamme de jeux EGT et devraient accueillir favorablement le portefeuille en ligne. mycasino est un opérateur bien connu en Suisse et diversifiera son contenu de machines à sous, offrant à EGT Interactive une plateforme puissante pour son contenu de premier ordre.

Les deux parties se sont fixé des objectifs élevés et sont déterminées à obtenir des résultats exceptionnels. Certains des premiers jeux qui seront lancés sont 20 Super Hot, 40 Super Hot, Age of Troy, Extremely Hot, Shining Crown, Zodiac Wheel et bien d'autres.

Ivo Georgiev, le directeur général d'EGT Interactive, a commenté : "Nous sommes très fiers de marquer le début de ce partenariat. mycasino est un opérateur connu et jouit d'une grande réputation. Cet accord est définitivement un énorme succès pour les deux parties."

Wolfgang Bliem, PDG du Grand Casino de Lucerne, est également satisfait : "Nous sommes ravis de nous associer à EGT et d'élargir notre portefeuille de jeux. Ensemble, nous allons offrir aux joueurs suisses un divertissement pur et de haut niveau."

À propos d'EGT

EGT Interactive (www.egt-interactive.com) fournit des logiciels et des solutions de jeu en ligne de pointe qui équipent certains des plus grands opérateurs de casino du monde. L'équipe est composée de professionnels très motivés qui se consacrent à fournir les meilleurs produits et services au marché des casinos en ligne. La société apporte au monde des casinos en ligne 19 ans d'expérience d'EGT sur le terrain. EGT Interactive dispose de plus de 200 machines à sous classiques en ligne variant selon des thèmes passionnants. Le portefeuille est disponible dans plus de 20 juridictions et alimente plus de 500 opérateurs en direct.

À propos du Grand Casino Luzern

Le Grand Casino Luzern est un casino traditionnel primé au cœur de la Suisse, situé dans un bâtiment historique directement sur la rive du lac des Quatre-Cantons. Avec mycasino.ch, le Grand Casino Luzern exploite le casino en ligne avec l'offre de jeux la plus vaste et la plus innovante de Suisse. Chaque jeu est certifié selon des normes strictes et approuvé par la Commission fédérale des jeux d'argent. Les clients bénéficient de nombreuses méthodes de paiement sécurisées, telles que Twint et Postfinance, ainsi que d'un service clientèle compétent, assuré directement par le Grand Casino Luzern.

(source : amusnet.com)

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