Les casinos suisses ont enregistré en 2004 plus de 4 millions de visiteurs et des gains de 769 millions de francs, soit 37 pourcent de plus que l’an dernier.

De cette somme, 316 millions ont été versés dans les caisses de l’AVS et 54 millions dans celles des cantons où se trouvent ces établissements de jeux.

Avec plus de 4 millions de visiteurs, les casinos suisses ont amélioré l'an passé leur fréquentation d'un million de personnes. Satisfaite, la Fédération suisse des casinos (FSC) a abordé mardi à Berne ses sujets de préoccupation politiques.

«En très peu de temps, la Suisse est devenue un 'pays à casinos'», s'est félicité Adriano Censi, président de la FSC.

La FSC s'est par ailleurs félicitée de la mise en place de standards communs dans les casinos en octobre 2004 pour la prévention et la détection précoce de clients montrant des comportements de jeu problématiques.

L'an passé, les casinos ont prononcé environ 3500 exclusions, ce qui a porté le nombre total d'exclus à 9700.

D’autre part, toujours selon Adriano Censi, la loi sur les maisons de jeu a déjà été contournée. Pour lui, des automates de loterie dans les bars et les restaurants tels que le «Tactilo» et son équivalent alémanique le «Touchlot» faussent la concurrence.

Mi-juin 2004, la Commission fédérale pour les maisons de jeu (CFMJ) a décrété un moratoire sur l'installation de nouveaux appareils, le temps de déterminer s'il s'agit de machines à sous et s'ils tombent, par conséquent, sous le coup d'une interdiction. Sa décision est attendue pour l'été prochain.

Autres jeux, autres joueurs
Dans les restaurants, bars et cafés une nouvelle génération de machines à sous devrait attirer une nouvelle de clientèle. Depuis le 1er avril, des jeux d'adresse remplacent peu à peu les bandits manchots.

Les nouveaux appareils font appel à l'habilité des joueurs: à leur sensibilité tactile, leur vitesse de réaction ou leurs capacités stratégiques. Douze modèles ont été jusqu'ici agréés par la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ).

Comme pour les automates de jeux de hasard, la mise varie de un à cinq francs selon les cantons, et le gain va de un à 100 francs, tandis que la perte correspond à l'argent misé.

Les responsables de la branche tablent sur des pertes pendant une à deux années de transition. Les deux sociétés fribourgeoises Escor et Proms, numéros un et deux des machines à sous sur le marché suisse, prévoient des baisses du chiffre d'affaires de 40%, respectivement 50% pour l'année en cours.

La situation devrait se redresser progressivement à partir de 2006. Mais il n'est pas certain que le niveau d'avant 2005 puisse être atteint, même si tous les bandits manchots qui devaient être débranchés jusqu'au 1er avril sont remplacés par des automates de jeux d'adresse (cinq au maximum par établissement).

(source : swissinfo.org)

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BERNE - Le 1er avril, les bandits manchots devront avoir disparu des cafés et des salons de jeu de Suisse. Ils pourront être remplacés par des machines à sous proposant des jeux d'adresse. Mais les exploitants s'attendent à une importante perte de gains.

La loi sur les maisons de jeu, entrée en vigueur le 1er avril 2000, interdit tout jeu de hasard en dehors des casinos au bénéfice d'une concession. Une période transitoire de cinq ans a toutefois été prévue pour la poursuite de l'exploitation des bandits manchots dans les établissements publics, où la limite était fixée à cinq appareils. Ce délai échoit jeudi.

Dès vendredi donc, environ 6000 machines à sous devront avoir été débranchées des cafés et salons de jeu des treize cantons qui les ont autorisées (AG, AI, AR, BE, FR, GL, LU, NW, OW, SH, TG, UR, ZG), rappelle la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ). Elles pourront être remplacées par des appareils à sous de jeux d'adresse, comme les jeux vidéo de réaction et les flippers.

Nombre d'exploitants ont profité jusqu'au dernier moment du délai qui leur était imparti. Ce n'est que mercredi que la société Escor a commencé à mettre hors service ses 1100 automates à sous, a expliqué son directeur Norbert Mauron. Proms, en revanche, a d'ores et déjà remplacé un appareil à sous sur deux, selon son directeur Christian Blanquet.

En Suisse, l'industrie des automates génère un chiffre d'affaires de 162 millions de francs et emploie quelque 1200 personnes, selon les données de son association faîtière Swissplay.

Avec ce changement, les exploitants craignent de ne pas toucher le jackpot. Dans un premier temps, du moins, car les amateurs de jeux de hasard ne sont pas les mêmes que ceux de jeux d'adresse, où l'habilité du joueur détermine son gain. Reste que certains apprécient l'ambiance du café et ne mettront jamais les pieds dans un casino, estime Christian Blanquet.

Escor prévoit une baisse de 40 % de son chiffre d'affaires annuel alors que la société Proms parle de 50 %. A leurs yeux, la situation devrait se redresser progressivement vers la fin de l'année.

Les contrevenants à la nouvelle loi s'exposent à une poursuite pénale et à une peine d'arrêts ou à une amende pouvant atteindre 500 000 francs.

(source : swissinfo.org/SDA-ATS)

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Porrentruy (AP) Le procès des braqueurs du Casino du Jura s'est ouvert lundi matin devant le Tribunal criminel de Porrentruy (JU). Huit prévenus, soupçonnés d'avoir pris part à cette agression à main armée, au cours de laquelle le croupier de l'établissement avait été grièvement blessé à fin novembre 2002 à Courrendlin, répondent de brigandage devant la justice jurassienne.

La bande, composée d'une majorité de ressortissants de l'ex-Yougoslavie, avait violemment agressé le croupier à la fermeture du casino le 28 novembre 2002, le rouant de coups et lui tirant une balle dans le pied. Les malfrats l'avaient ensuite contraint à ouvrir le coffre-fort, avant de le menotter et de prendre la fuite avec leur butin, qui se montait à 170.000 francs.

Activement recherchés par la police, deux des auteurs principaux du brigandage avaient été arrêtés le jour de l'An. Les perquisitions effectuées par la suite avaient permis de saisir l'arme - un revolver Magnum - avec laquelle le croupier a été gravement blessé, de même que des munitions, une grenade à main, diverses armes d'alarme et factices, des masques à gaz, une paire de menottes, des cagoules, des gants ainsi que divers objets tels que des pieds de biche.

(source : edicom.ch/AP)

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BERNE - Les casinos suisses ont rapporté plus que prévu en 2004. Les 19 maisons de jeu ont réalisé un produit brut de 769 millions, soit 208 de plus qu'en 2003. Elles devront payer plus de 370 millions d'impôt au profit de l'AVS et des cantons d'implantation.

En 2004, l'ensemble des 19 casinos a vécu pour la première fois une année d'exploitation complète. La plus grande part de leur chiffre d'affaires provient des automates. Ils y ont contribué pour 578 millions de francs, soit 75,1 % contre 72,2 % en 2003. Les jeux de tables ont rapporté 191 millions de francs (24,9 % contre 27,8 %).

Ce résultat dépasse les prévisions de la plupart des exploitants, note vendredi la Commission fédérale des maisons de jeu dans un communiqué. Cette dernière estime que l'impôt pour 2004 se montera à plus de 370 millions, contre 260 millions en 2003.

Quelque 316 millions iront à l'AVS et 54 millions aux cantons. La plus grande partie de l'impôt a déjà été versée sous forme d'acomptes. Le solde sera réclamé après la taxation définitive.

(source : swissinfo.org/SDA-ATS)

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Une St-Galloise de 39 ans a commencé la nouvelle année en empochant un peu plus de 1,9 million de francs. Le 1er janvier à 19h40, elle a en effet décroché le "Swiss Jackpot" au grand casino de St-Gall.

(source : bluewin.ch)

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Le délai transitoire arrive à échéance au 1er avril 2005 - Jusqu'à 500.000 francs d'amende pour les contrevenants

Berne (AP) Dès le 1er avril prochain, les 6.000 machines à sous proposant des jeux de hasard encore installées en Suisse dans les cafés et les salons de jeux devront être démantelées, sous peine d'une amende salée, a rappelé mardi la Commission fédérale des maisons de jeu. Le sort des «Tactilos» est toujours en suspens.

La loi fédérale sur les jeux de hasard et les maisons de jeu interdit depuis le 1er avril 2000 tout jeu de hasard en dehors des casinos au bénéfice d'une concession. Un délai de cinq ans avait toutefois été accordé pour les machines à sous servant aux jeux de hasard qui avaient été homologuées selon l'ancienne loi comme appareils à sous servant aux jeux d'adresse.

La moitié des cantons, dont Fribourg en Suisse romande, avait fait usage de cette dérogation et autorisé les propriétaires de cafés à poursuivre l'exploitation de leurs machines à sous. Ce délai arrivera à échéance le 1er avril 2005, rappelle le Commission fédérale des maisons de jeu. A compter de cette date, seuls les casinos auront le droit d'exploiter des jeux de hasard. Les 6.000 machines à sous encore recensées dans les cafés devront disparaître. Les contrevenants s'exposent à une poursuite pénale et risquent jusqu'à 500.000 d'amende ou les arrêts.

Une partie des machines à sous incriminées seront vraisemblablement remplacées par des appareils automatiques à jeux d'adresse, prévoit la Commission fédérale des maisons de jeux. Encore faut-il toutefois que le canton concerné autorise l'exploitation de tels appareils.

Quant aux «Tactilos» de la Loterie romande, leur sort n'est toujours pas réglé. Le Tribunal fédéral doit déterminer s'il s'agit de d'automates à loterie ou de machines à sous. Dans le second cas, ils ne pourraient être installés que dans des casinos. En juin dernier, la Commission fédérale des maisons de jeu avait interdit provisoirement l'installation des «Tactilos» dans les cafés, en attendant une délimitation de leur statut légal. La Loterie romande avait dénoncé un «coup de force». En Suisse romande, quelque 350 «Tactilos» sont installés dans divers cafés. En Suisse alémanique, Swisslos voulait introduire un jeu analogue et placer 400 «Touchlot» dans des lieux publics.

(source : edicom.ch/AP)

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Les députés fribourgeois ont décidé, mardi, de libéraliser le secteur des jeux dans le canton.

La mise maximale passe de deux à cinq francs par partie et par appareil. Les gains ne sont plus limités et le nombre d'appareils de jeux passe de deux à dix par salon de jeux.

Les députés ont largement confirmé les options prises lors de la première lecture, en novembre, donnant ainsi le feu vert à une libéralisation accrue du secteur des jeux à sous dans le canton de Fribourg. Ce dernier est déjà le seul, parmi les 13 cantons romands, à autoriser les jeux à sous en dehors des casinos.

Compte tenu de ces circonstances, le Conseil d'Etat aurait voulu maintenir le statu quo à quelques changements près. Il préconisait le maintien de la mise maximale à 2 francs ainsi que des gains limités à 50 francs. Comme concession au secteur des jeux, il recommandait le passage de deux à cinq machines par salon de jeux et la suppression de la clause du besoin.

Selon cette dernière, une patente d'exploitant de salon de jeux ne pouvait être accordée que pour une commune de plus de 3000 habitants; une patente supplémentaire pouvait être octroyée par tranche de 5000 habitants en plus. Le gouvernement n'a été suivi que sur la suppression de la clause du besoin.

Mais les choses ne sont pas allées sans revirement. Au cours de débats passionnés, les députés ont d'abord, en deuxième lecture, renversé la vapeur et soutenu la version plus restrictive du Conseil d'Etat. Avant de passer à la 3e lecture et de revenir, après un nouveau revirement, à la première lecture.

(source : tsr.ch/RSR/agences)

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Moratoire maintenu
Lausanne (AP) L'installation de nouveaux jeux «Tactilo» et »Touchlot» reste provisoirement interdite. Le Tribunal fédéral a rejeté les recours de la Loterie romande, de Swisslos et de la Société du Sport-Toto contre le gel de nouveaux appareils prononcé par la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ).

En juin, la Commission fédérale des maisons de jeu avait interdit provisoirement l'installation des ces automates, en attendant une délimitation de leur statut légal. La Loterie romande avait dénoncé un «coup de force», jugeant la CFMJ incompétente en la matière. Concrètement, il s'agit d'établir si ces automates à loterie relèvent de la loi sur les loteries, comme le prétend la Loterie romande, ou s'il s'agit de machines à sous relevant de la loi sur les maisons de jeu. Dans le second cas, ils ne pourraient être installés que dans des casinos.

La Société du Sport-Toto, Swisslos et la Loterie romande s'étaient d'abord adressés en vain auprès de la commission de recours de la CFMJ pour obtenir un effet suspensif qui leur aurait permis d'installer provisoirement de nouveaux jeux de ce type. Dans un arrêt rendu public samedi, le Tribunal fédéral vient aussi de refuser cette requête. Les considérants ne sont pas encore connus. Les trois sociétés de loterie devront s'acquitter de frais de procédure de 17.000 francs.

La Loterie romande exploite déjà 600 «Tactilos» dans les bars et les restaurants, et prévoit d'arriver au nombre de 700. En 2003, ces automates lui ont rapporté quelque 880 millions de francs. Le montant par jour et par jeu de loterie électronique dépasse celui d'un automate de jeux de hasard dans un casino. En Suisse alémanique, Swisslos voulait introduire un jeu analogue et placer 400 «Touchlot» dans des lieux publics.

(source : swissinfo.org/AP)

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BERNE - La dépendance au jeu touche entre 35 500 et 48 000 personnes en Suisse. De manière générale, les appareils à sous sont les plus problématiques. Mais la palme revient aux loteries électroniques en Suisse romande, selon une étude.

Seule une petite minorité des personnes qui souffrent d'une pathologie du jeu consultent ou suivent un traitement. Leur nombre était estimé entre 1000 et 1500 en 2003, relève le Bureau d'études de politique sociale et du travail (BASS) dans son tour d'horizon réalisé sur mandat de la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ).

Les hommes représentent près de 80 % des joueurs qui consultent. 81 % ont indiqué avoir des problèmes avec les machines à sous et 23 % avec les jeux de tables des casinos, en particulier la roulette (18 %) et le black jack (11 %) Le taux est de 13 % pour la loterie à numéros ou les tickets à gratter.

Les loteries électroniques et les appareils automatiques à loteries de type Tactilo donnent du fil à retordre à 12 % en moyenne des gens qui consultent. Ces jeux ont donc une importance "non négligeable si l'on considère qu'ils ne sont implantés que dans certaines régions". Ils sont en tête pour les cas de consultations en Suisse romande.

Les coûts économiques des jeux de hasard sont évalués à 92,6 millions (en 2002), liés au non-remboursement des dettes de jeu (70 millions), au chômage, aux traitements et aux procès. Les coûts sociaux, eux, ne sont guère chiffrables. De son côté, le bénéfice économique généré par les jeux de hasard est estimé à un peu plus de 700 millions par an en Suisse.

(source : swissinfo.org/SDA-ATS)

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BERNE - Le produit des tables de jeux ne constitue qu'un peu plus du quart des résultats bruts des casinos suisses. Dans les casinos européens, la roulette américaine, le black jack et le poker représentent plus du tiers des résultats.

Depuis l'ouverture des premiers casinos concessionnaires en 2002, il est possible de jouer en Suisse à une large palette de jeux de table, écrit la Fédération suisse des casinos (FSC) dans un communiqué. Mais les machines à sous gardent la préférence des joueurs.

En 2003, les casinos membres de la FSC ont réalisé un produit brut sur les jeux de 540 millions de francs, dont 151,5 millions (28 %) pour les jeux de table et 388,5 millions (72 %) pour les machines à sous. Les résultats de l'European Casino Forum indiquent, pour 502 casinos, un produit brut de 2,8 milliards d'euros pour les jeux de table (36 %) et de 4,9 milliards pour les automates (64 %).

Actuellement, les 18 membres de la FSC disposent en tout de 225 tables de jeu, dont 91 sont consacrées à la roulette américaine et 78 au black jack. Ce sont les grands casinos de type A de Lugano (TI), Baden (AG), Montreux (VD) et Bâle qui proposent le plus grand nombre et le plus large choix de jeux de table, indique la FSC.

(source : laliberte.ch)

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Berne (AP) Dès novembre prochain, les joueurs pourront quintupler leur mise et gagner jusqu'à 25.000 francs dans les machines à sous des douze casinos de type B de Suisse. Le Conseil fédéral a décidé vendredi d'assouplir plusieurs restrictions auxquelles étaient soumis ces établissements, afin de rendre leur offre de jeu plus attrayante.

Ces modifications visent à permettre aux petits casinos de soutenir la concurrence avec les grands casinos, où la mise et le gain sont illimités, explique le Département fédéral de justice et police (DFJP). La différence entre casinos A et B, en vigueur depuis le 1er avril 2004, n'est toutefois pas remise en question. Pour les machines à sous, la mise maximale va passer de cinq à 25 francs et le gain maximal de 5.000 à 25.000 francs. Le taux de progression de l'impôt auquel sont soumis les casinos sera par ailleurs harmonisé.

Selon la loi sur les maisons de jeu, les casinos munis d'une concession A se distinguent des établissements de type B par une offre de jeu plus étendue. Le montant de la mise, du gain et du gros lot sont en outre illimités.

(source : edicom.ch/AP)

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ST-GALL - Un collaborateur du casino de St-Gall a volé plus de 30 000 francs dans le coffre de l'établissement. Le Suisse de 24 ans, engagé comme «cash desk supervisor», a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi dans le casino.

Il a été surpris en flagrant délit par des agents du service de sécurité de l'établissement. L'homme a reconnu ses actes. Le porte-parole de la police st-galloise Hans Peter Eugster a confirmé une information de la «St-Galler Tagblatt». L'employé aurait manipulé un système informatique pour pouvoir s'emparer de l'argent dans le coffre du casino.

(source : swissinfo.org)

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La chance a souri hier matin vers une heure à une joueuse du Casino de Bâle. Elle a en effet gagné le Swiss Jackpot, empochant ainsi près de 4,6 millions de francs suisses. Le hasard a voulu que ce soit l'alignement de cinq portraits de Toutankhamon qui fasse s'ouvrir le coffre. Ce pharaon fait actuellement l'objet d'une magnifique exposition à Bâle.

Le Swiss Jackpot relie tous les grands casinos de Suisse alémanique (Bâle, Baden, Berne, Lucerne et St-Gall) et est le plus grand d'Europe de ce type. Hier soir, la somme en jeu atteignait déjà à nouveau 2,3 millions de francs suisses.

(source : dna.fr)

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JEUX Le canton reçoit une manne de plus d'un million

Chiffres à l'appui, le Casino du Jura fait taire ses détracteurs, qui lui avaient prédit une mort programmée à court terme, quand la licence B lui avait été octroyée. Le produit brut des jeux (PBJ) s'est monté, pour la première année d'activité, à 9,45 millions de francs, soit 1,45 million de plus que prévu! Conséquence: des retombées cantonales qui atteignent 1,133 million de francs, soit cinq fois plus qu'avant l'obtention de la concession fédérale, en décembre 2002.

«Quand on sait que les casinos de Zermatt et d'Arosa ont déjà fermé leurs portes et que nos résultats sont supérieurs à ceux de Davos, de Saint-Moritz et même d'Interlaken, on ne peut qu'être confiant quant à l'avenir de notre établissement. Avec 75 machines à sous, il exploite pour l'instant la moitié seulement de la capacité offerte par la licence B», indique le directeur, Thierry Schlüchter.

A Courrendlin, on craignait beaucoup l'ouverture, en octobre dernier à Bâle, d'un casino de licence A: «Nous avons connu un tassement du secteur des tables que j'attribue à cette concurrence, admet le directeur jurassien. Mais comme ce domaine ne représente que les 20% de nos recettes et que les machines à sous sont en progression constante, nous continuons de penser que nous passerons l'an prochain le cap des 10 millions de PBJ.»

Que fait l'Etat du Jura de cette manne? Il la distribue à cinq bénéficiaires. La commune siège de Courrendlin (20%) a ainsi reçu 226 681 francs et l'Action sociale contre la dépendance (10%) 113 341 francs. Les 50% du solde (396 692 francs) reviennent au Fonds du tourisme. Les autres 50% sont partagés entre l'Office des sports et l'Office de la culture qui récoltent chacun 198 346 francs.

(source : lematin.ch/JEAN-PIERRE MOLLIET)

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Vers des conditions plus favorables

Avec la révision de l'ordonnance sur les maisons de jeu (OMJ), le Conseil fédéral veut mettre en place des conditions cadre plus favorables aux casinos de type B.

Le projet prévoit que les casinos B ou Kursaal, au nombre de 12, puissent offrir pratiquement les mêmes types de jeux de table que les sept grands casinos A. Les jeux autorisés resteraient toutefois limités. Les mises et les gains maximum permis dans les casinos B seraient aussi augmentés. Le Département fédéral de justice et police (DFJP) entend également harmoniser le taux marginal de progression de l'impôt. Les maisons de jeu sont imposées de manière progressive sur le produit brut des jeux. Le taux marginal de progression est plus abrupt pour les casinos B que pour les casinos A. Le taux de base est de 40 % jusqu'à 10 millions de francs pour les casinos B. Le taux progresse ensuite de 1 % par million de francs supplémentaire du produit brut des jeux jusqu'à la limite maximale de 80 %. Le projet prévoit de baisser ce taux de 1 à 0,5 %. Les casinos A sont aussi taxés à hauteur de 40 %, mais jusqu'à 20 millions de francs. En octobre dernier, le Conseil fédéral avait décidé de faire un geste en faveur des casinos B. Le taux de base de l'impôt a été fixé à 20 % pour les petits casinos de montagne, dont la situation est la plus difficile, et à 30 % pour les autres établissements de type B. Avec cette révision, le DFJP veut continuer à aider les casinos B. Ceux de Zermatt et Arosa ont déjà dû fermer et celui d'Engelberg a renoncé à ouvrir. Le reste de la branche, en revanche, se porte à merveille. Mais tous les acteurs ne sont pas d'accord. Les casinos A s'opposent à cette réforme qui intervient si peu de temps après l'ouverture des casinos. «Les règles du jeu étaient connues depuis le début. Et les casinos étaient en mesure d'y adapter leur businessplan», a déclaré Stefan Harra, directeur du Casino de Berne. On veut maintenant changer les règles du jeu, ce qui n'est pas correct par rapport aux casinos A. Jean-Claude Frings, directeur du casino B de St-Moritz comprend les objections des casinos détenteurs d'une licence A. Mais pour lui, sans nouvelle proposition, d'autres fermetures seront inévitables. Sur un point, toute la branche est d'accord: elle souhaite davantage de liberté face au législateur pour introduire de nouveaux jeux de table. (ats)

(source : journaldujura.ch)

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Les joueurs y ont dépensé 561 millions de francs en 2003

Berne (AP) Au terme de la phase d'octroi des concessions, l'ouverture de six casinos en 2003 a permis de dégager un produit brut de jeux de 561 millions de francs. La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) a dressé vendredi un bilan positif des résultats des 19 casinos suisses en activité.

Lors d'une conférence de presse à Berne, le président de la CFMJ Benno Schneider s'est réjoui des résultats d'ensemble obtenus par les casinos. L'ouverture de six d'entre eux l'an dernier - les casinos de catégorie A de Montreux, Bâle et St-Gall et ceux de catégorie B de Fribourg/Granges-Paccot, Locarno et Meyrin - a entraîné une forte hausse du produit brut des jeux à 561 millions de francs (+88,7%). La CFMJ prévoit que l'année en cours, première de pleine exploitation de tous les casinos, sera marquée par une nouvelle hausse. Le bénéfice total a atteint 24,5 millions.

En termes de produit brut des jeux, les premières places sont occupées par Baden (109,8 millions), Mendrisio (85,7) et Lugano (67,2). En Suisse romande, le casino de Montreux a enregistré un produit brut de 56,8 millions. Le casino de Zermatt, dont la concession a été suspendue au 1er décembre dernier, clôt le classement avec une somme de 1,4 million.

Les impôts perçus sur les résultats des casinos se sont élevés à 260,8 millions de francs, dont 223,8 ont été affectés au fonds de compensation de l'AVS et 37 ont été distribués aux cantons dans lesquels ont été implantés des casinos B. Les attentes fiscales ont été atteintes et devraient même être dépassées à l'avenir, selon la CFMJ.

Potentiel surestimé

A l'exception d'Engelberg, d'Arosa et de Zermatt, toutes les maisons de jeu pour lesquelles le Conseil fédéral avait envisagé l'octroi d'une concession étaient exploitées l'an dernier. En raison de difficultés financières, les casinos d'Arosa et de Zermatt ont dû prélever des montants importants sur leurs fonds propres et se sont vus retirer leur concession. Hormis Crans-Montana, le potentiel des maisons de jeu de montagne a de toute évidence été surestimé, selon Benno Schneider. En octobre dernier, le Conseil fédéral avait accordé des facilités fiscales aux 14 casinos avec concession B, fixant le taux de l'impôt à 20% du produit brut des jeux pour les casinos de montagne et à 30% pour les autres. Le taux est resté inchangé à 40% pour les casinos avec concession A.

Problème des «Tactilos»

En termes d'offre de jeux, de sécurité et de prévention sociale, les casinos helvétiques ont rapidement atteint les standards internationaux, a relevé Benno Schneider. En matière de lutte contre le jeu illégal, 169 procédures pénales ont été engagées l'an dernier et 363 étaient pendantes. Elles concernaient surtout l'exploitation d'appareils dans des clubs de jeux illégaux ou des restaurants. Les amendes et les valeurs confisquées se sont élevées à 392.457 francs.

Le nombre de décisions d'exclusion de casino a passé de 350 en 2002 à près de 2.300 l'an dernier. La CFMJ a lancé une étude sur la dépendance au jeu dont les résultats sont attendus pour l'automne prochain.

La CFMJ rappelle qu'il n'existe toujours pas de délimitation satisfaisante entre la loi sur les maisons de jeu et celle sur les loteries. Il s'agit en particulier de déterminer si les automates de type «Tactilo» sont des machines à sous tombant sous le coup des dispositions de la loi sur les maisons de jeu. C'est pourquoi l'installation de nouveaux «Tactilos» est provisoirement interdite. AP

(source : edicom.ch)

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Berne (AP) La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) a provisoirement interdit l'installation d'automates de type «Tactilo» en Suisse alémanique. Cette décision est valable durant toute la durée de la procédure qui va déterminer le statut légal de ces appareils, a annoncé jeudi la CFMJ. Les automates installés en Suisse romande ne sont pas visés par cette mesure. Il s'agit d'établir si ces automates à loterie relèvent de la loi sur les loteries, comme le prétendent la Loterie romande et les autres loteries, ou s'il s'agit de machines à sous relevant de la loi sur les maisons de jeu. Dans le second cas, ils ne pourraient être installés que dans des casinos. Le 19 mai dernier, le Conseil fédéral avait décidé de suspendre provisoirement la révision en cours de la loi fédérale sur les loteries et les paris professionnels, laissant aux tribunaux le soin de clarifier la situation.

La Loterie romande exploite déjà 600 de ces «Tactilos» dans les bars et les restaurants, et prévoit d'arriver au nombre de 700. En 2001, ces automates lui ont rapporté quelque 79,8 millions de francs. Le montant par jour et par jeu de loterie électronique dépasse celui d'un automate de jeux de hasard dans un casino. En Suisse alémanique, Swisslos voulait introduire un jeu analogue et placer 400 «Touchlot» dans des lieux publics.AP

(source : edicom.ch)

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BÂLE - La police a réussi à faire échouer une tentative de hold-up contre le Grand casino de Bâle. Trois personnes ont été arrêtées, dont un employé du casino. Il s'agit de Suisses, deux hommes et une femme, âgés de 23, 27 et 33 ans.

Les trois personnes interpellées disposaient d'armes et voulaient s'emparer de la recette du jour. L'enquête a mené la police jusque dans le canton de Glaris.

(source : edicom.ch)

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ZURICH - Les casinos suisses ont vécu une année 2003 fructueuse: leurs gains ont pratiquement doublé, à 561 millions de francs. Mais ils s'inquiètent de la concurrence et du potentiel de dépendance du «tactilo» de la Loterie romande. Les 19 maisons de jeu rattachées à la Fédération suisse des casinos (FSC) et opératives en 2003 ont attiré 3 millions de clients. Elles ont enregistré un produit brut des jeux (différence entre les mises et les gains) de 540 millions de francs. Seul le casino de Meyrin (GE), qui a ouvert ses portes l'an passé, n'est pas membre de la FSC.

Alors que les sept casinos de concession A ont dépassé les attentes (produit de 335 millions), la plupart des douze casinos B, avant tout ceux de montagne, ont connu des difficultés (produit de 205 millions), a expliqué le président de la FSC Adriano Censi.

Le kursaal d'Arosa a même dû mettre la clé sous le paillasson en milieu d'année. Celui de Zermatt est provisoirement fermé depuis fin 2003. Des négociations sont en cours pour relancer l'exploitation, selon M. Censi.

Par ailleurs, l'organisation faîtière est préoccupée par la «concurrence déloyale» du «tactilo» de la Loterie Romande, a ajouté M. Censi. Disponible dans les bars et les restaurants, cette loterie électronique redistribue environ 90 % des gains, un taux comparable à celui des machines à sous.

La FSC exige que «tactilos» et «touchlots» soient mis sur un pied d'égalité avec les machines à sous des casinos dans le cadre de la révision en cours de la loi fédérale sur les loteries. Malgré leur «potentiel élevé de dépendance au jeu», la législation ne prescrit à leurs exploitants aucune mesure de prévention et notamment de protection de la jeunesse, a déploré M. Censi.

(source : 24heures.ch)

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Effet casino · Avec l'ouverture du casino de Montreux, la présence sur la Riviera vaudoise des stars de l'Hexagone est toujours plus visible. Les hôteliers font aussi leur lifting. Beaucoup d'établissements ont connu des changements récents.

Son débarquement sur la Riviera vaudoise est encore dans toutes les mémoires. Et pour cause. En juillet 2003, Bernard Tapie séjourne à la clinique Biotonus à Montreux. On le voit partout, le flamboyant golden boy des années Mitterrand aujourd'hui reconverti dans le cinéma: sur les quais, au casino tout proche où «sévit» un autre de ses compatriotes, l'ex-ferrailleur et ancien copropriétaire du FC Servette Michel Coencas. Ce dernier, dit-on, est l'un des actionnaires de la société financière Pegasus qui contrôle le Grand Hôtel Excelsior où niche Biotonus. Mais il est aussi un ami de Bernard Tapie dont il a coproduit la pièce «Vol au-dessus d'un nid de coucou».
Il n'en faut guère plus pour alimenter les fantasmes des milieux financiers de France et de Navarre. L'ancien propriétaire de l'Olympique de Marseille convoiterait-il le quatre étoiles montreusien? Une telle opération présagerait-elle un nouveau coup immobilier? Pourtant Bernard Tapie, qui a connu la banqueroute, se déclare sans un sou. Comment ferait-il, le bougre, pour mener à bien une opération financière de cette envergure?

Onde de choc
Sous le couvert de l'anonymat, un acteur touristique de la région croit pouvoir écarter cette éventualité. «A ma connaissance, M. Tapie n'a pas pris de participation dans Biotonus. Mais une chose est sûre, le démarrage du casino Barrière à Montreux, en février 2003, a provoqué une petite onde de choc ici».
Et d'aligner sur le calepin du journaliste les établissements ayant connu des changements au cours des derniers mois et semaines, signe que quelque chose est en train de se passer. Le Golf, l'Eurotel, le Swiss Majestic et le Montreux Palace à Montreux, le Mirador au Mont-Pèlerin: toutes ces perles ont subi un lifting ou vu un patron, souvent jeune, en remplacer un autre. Les René Capt (Golf Hotel), Guy Lindt (Eurotel), Eric Favre (Mirador), Jean-Philippe Scalbert (Grand Hotel Excelsior), Michael Smithuis (Montreux Palace) et autres Andres Oppenheim (Majestic) appartiennent à cette nouvelle génération d'hôteliers formés dans les meilleures écoles. Ils arrivent dans le sillage d'investisseurs désireux d'injecter du sang neuf dans les infrastructures touristiques de la Riviera. Une tendance qui n'épargne pas Vevey. Parmi les cibles de repreneurs potentiels ne parle-t-on pas sérieusement aujourd'hui de l'Eden et du Trois-Couronnes?

«Tous derrière kerry!»
La Riviera se fait toute belle et les hôtes français, en tout cas, mordent à l'hameçon, qui, tels l'animateur de télévision Guillaume Durand ou la reine de la jet-set Caroline Barclay, descendent plus ou moins régulièrement dans un quatre ou cinq étoiles montreusien. Ils contribuent à leur manière au frémissement d'un secteur traumatisé après l'effondrement des tours du World Trade Center et l'épidémie de grippe asiatique, tant il est vrai que les voyageurs, surtout américains, désertent toujours les circuits traditionnels. L'an dernier, c'est une chute de 30 à 35% des nuitées qu'ont enregistrée certains hôtels de luxe.
A tel point qu'aujourd'hui il n'est plus beaucoup de professionnels de l'hôtellerie pour vouloir miser encore sur les chances de George W. Bush de se succéder à lui-même à la présidence des Etats-Unis. De Genève à Villeneuve, le monde touristique semble se rallier à la devise: «Tous derrière le démocrate Kerry!».

(source : laliberte.ch/Christian Campiche)

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