Les sept oppositions déposées contre le projet de casino de la Rotonde à Neuchâtel ont été retirées. Les séances de conciliation ont abouti lundi, annonce aujourd'hui la Ville de Neuchâtel. Les travaux de transformation et d’aménagement vont commencer immédiatement. Le casino devrait ouvrir en automne.

Le maître d’ouvrage et la Ville de Neuchâtel ont pris un certain nombre d’engagements pour répondre aux préoccupations des opposants.

Un cadre d’exploitation précis de l’établissement a été fixé (horaires, utilisation des terrasses, gestion du stationnement clients ou personnel, organisation des livraisons) et des modifications ont été apportées aux installations de ventilation du bâtiment, signale la Ville de Neuchâtel.

Laquelle va assurer le suivi et le contrôle du trafic et du stationnement. Des mesures de circulation adaptées pourraient ensuite être mises en place.

(source : lacote.ch/DJY)

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VIDEOSURVEILLANCE | L’ancien directeur aurait mis en place un système non sécurisé, permettant de surveiller clients et employés à distance

Tables de jeu, automates, cuisines, arrière-salles: selon le journal SonntagsBlick, l’ancien directeur du Casino du Lac, à Meyrin, aurait surveillé ses clients et employés grâce à un système de caméras lui permettant de visionner les images à distance, depuis n’importe quel point du globe. A Berne, une procédure administrative a été ouverte à l’encontre du casino genevois.

Directeur de la maison de jeu jusqu’en 2009, le cadre du groupe français Partouche aurait fait installer ce système de caméras consultable à distance par une société tunisienne il y a quatre ans, comme le prouvent certains e-mails internes que le journal alémanique s’est procurés. L’adresse Internet permettant de visionner les images – tout comme les données d’accès – n’était pas sécurisée et avait été fournie à plusieurs personnes, raconte un ancien technicien de l’établissement. «N’importe quel hacker amateur pouvait s’introduire dans le système et se procurer des informations sur le casino et ses clients.» Grâce aux caméras, le directeur aurait ainsi pu épier à distance chaque recoin du casino, ses clients comme ses employés.

Sécurité exigée

Suite à ces révélations, la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) a ouvert une procédure administrative. Si la loi oblige les casinos à posséder un système de vidéosurveillance, elle exige également que celui-ci soit sécurisé et accessible par un nombre restreint de personnes. L’ordonnance sur les jeux de hasard et les maisons de jeu est claire: le casino «veille à ce que seules aient accès aux enregistrements les personnes qui en ont besoin pour accomplir leur tâche».

Images gardées 28 jours

Une ordonnance du Département fédéral de justice et police de 2004 précise: «Le système de vidéosurveillance doit être protégé de toute intervention indue.» Ce dernier doit être actif 24 h/24 et permettre de surveiller le périmètre d’accès au casino, les salles de jeu ainsi que les locaux où sont conservés, transportés ou comptés «les jetons, l’argent ou les instruments de jeu». Objectif: «garantir une exploitation des jeux sûre et transparente», et «pouvoir retracer les flux financiers et les résultats des jeux, par exemple en cas de soupçon d’escroquerie ou lors de la contestation d’un joueur». Les images doivent être conservées dans un lieu sécurisé, 28 jours au moins. La loi exige que certains éléments – jetons, cartes et dés – soient reconnaissables. L’établissement doit en revanche prévenir employés et clients que ceux-ci seront filmés.

Etant donné la procédure en cours, l’actuel directeur du casino n’a pas souhaité faire davantage de commentaires. Il précise néanmoins: «Nous bénéficions d’un accès à distance sécurisé à notre système de vidéosurveillance, afin que notre prestataire puisse effectuer de la maintenance, explique Fabrizio Barozzi. Mais dès qu’il n’y en a plus besoin, la prise est retirée pour éviter tout problème de hacking.» Et le directeur d’assurer: «Les caméras nous servent uniquement à surveiller l’exploitation des jeux ainsi que les accès au casino, et non pas nos employés.»

Le préposé fédéral à la protection des données – qui s’occupe des questions de vidéosurveillance aussi sur terrain privé – n’a pas encore été averti de l’affaire.

(source : tdg.ch/Chloé Dethurens)

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Berne, 24.06.2011 - Dans son rapport annuel, la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) tire un bilan positif de l'année 2010. Elle a mené à terme la révision de l'ordonnance sur les maisons de jeu. La procédure concernant l'attribution de nouvelles concessions de maisons de jeu pour la ville de Zurich et dans la région de Neuchâtel a été ouverte.

La surveillance des maisons de jeu a également été exercée de manière satisfaisante en 2010. Dans l'exercice de ses activités de surveillance des casinos, la CFMJ a conduit 44 inspections et rendu 271 décisions. Dans le cadre de la lutte contre le jeu illégal, elle a ouvert 61 enquêtes pénales, rendu 138 décisions et clos de manière définitive 93 procédures.

Les maisons de jeu ont globalement enregistré un léger recul du produit brut des jeux, elles ont versé près de 387 millions de francs à l'AVS. Les maisons de jeu de type B se sont également acquittées, auprès de leurs cantons d'implantation, d'un versement de 63 millions de francs au titre de l'impôt sur les maisons de jeu.

La révision partielle de l'ordonnance sur les maisons de jeu réalisée en 2010 a conduit à un assouplissement de certaines restrictions de l'offre de jeu en vigueur pour les casinos de type B, ainsi qu'à l'établissement d'une base légale pour la mise en place d'un système technique de surveillance des tables de jeu.

Par ailleurs, les travaux préparatoires pour une modification de la législation visant à assouplir l'actuelle interdiction concernant les jeux de hasard en ligne ont été entrepris.

Enfin, la CFMJ a ouvert une procédure d'attribution de concessions de maisons de jeu en ville de Zurich et dans la région de Neuchâtel, procédure pour laquelle elle a reçu, fin 2010, neuf candidatures.


Renseignements:

Jean-Marie Jordan, Directeur CFMJ, tél. +41 31 323 12 05


Editeur:

Département fédéral de justice et police Internet: http://www.ejpd.admin.ch


(source : admin.ch)

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Berne (awp/ats) - Les revenus des casinos continuent de baisser. Le produit brut des jeux a reculé de 67,6 mio CHF en 2010, à 868,7 mio CHF. Dans son rapport annuel, la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) explique le phénomène par la conjoncture économique mais aussi, une nouvelle fois, par les interdictions de fumer.

Les casinos ont cependant réagi. Plusieurs d'entre eux ont installé des fumoirs dans leurs locaux, note la CFMJ. Dans plusieurs Etats, les maisons de jeu restent les derniers havres pour les fumeurs invétérés, qui ne s'y voient imposer aucune restriction.

La chute des revenus a touché la majorité des casinos en Suisse. Ceux de Berne, de Lugano, de St-Gall (types A) ainsi que ceux de Courrendlin (JU), de Davos (GR) et d'Interlaken (BE) (type B) ont toutefois tiré leur épingle du jeu.

Le produit brut des jeux est généré en premier lieu par les machines à sous (704,3 mio CHF), la part des jeux de table représentant 164,4 mio CHF. Les pertes fiscales ont pu être limitées grâce à l'harmonisation du taux de base d'imposition depuis janvier 2010.

Les casinos ont ainsi payé 449,8 mio CHF d'impôts, soit 29 mio de moins qu'en 2009. Sur ce montant, 387 mio ont été attribués à l'AVS et 62,7 mio aux cantons d'implantation des maisons de jeu de type B.

Pour le reste, la CFMJ estime que la loi a fait ses preuves tant dans la lutte contre le jeu illégal que dans l'exploitation des maisons de jeu. La surveillance a également été exercée de manière satisfaisante, selon le rapport.

La CFMJ a conduit 44 inspections et rendu 271 décisions, ayant pour la plupart trait à des modifications de jeu. Plusieurs appareils à sous ont dû être déconnectés du système de jackpot à la suite de problèmes techniques. Concernant la vidéosurveillance, la Commission a dû rappeler moins d'établissements à l'ordre qu'en 2009.

En revanche, elle a dû infliger une sanction contre un casino pour n'avoir pas prononcé une exclusion de jeu à l'égard d'une cliente dont les mises extravagantes - elle avait détourné 2,8 mio CHF à son employeur - auraient dû attirer l'attention. Dans le cadre de la lutte contre le jeu illégal, la CFMJ a ouvert 61 enquêtes pénales, rendu 138 décisions et clos de manière définitive 93 procédures.

La cohérence entre les législations sur les maisons de jeu, sur les jeux de hasard pour de l'argent et sur les loteries reste insatisfaisante, selon la CFMJ. Elle en appelle au Parlement pour rétablir un certain équilibre lorsqu'il traitera de l'initiative populaire "Pour des jeux d'argent au service du bien commun" et de son contre-projet.

(source : romandie.com/ats/cha) ats/cha

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Berne, 22.06.2011 - Le Conseil fédéral a décidé, lors de sa séance de ce jour, à quels projets de maison de jeu en ville de Zurich et dans la région de Neuchâtel il est prévu d’octroyer une concession. En ville de Zurich, le projet qui pourra être réalisé est celui de Swiss Casinos Zürich AG, dans le bâtiment « Haus Ober » ; dans la région de Neuchâtel, il s’agit du projet de FBAM Neuchâtel SA dans le « Casino de la Rotonde ».

Le 24 mars 2010, le Conseil fédéral avait décidé de procéder à la mise au concours de deux nouvelles concessions de maisons de jeu, une concession A en ville de Zurich et une concession B dans la région de Neuchâtel. La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) a été mandatée pour instruire la procédure.

La CFMJ a examiné si les neuf demandes déposées satisfaisaient aux dispositions légales. Elle a considéré en particulier les fonds propres prévus, l'origine des fonds, la bonne réputation, l'indépendance, l'offre de jeux, le concept de sécurité, le programme de mesures sociales, le système de gestion de la qualité, la mise en pratique des dispositions sur le blanchiment d'argent, la rentabilité et l'impact économique. La CFMJ a présenté les résultats de ses évaluations dans un rapport à l'intention du Conseil fédéral et y a formulé ses propositions pour l'octroi des concessions.

Dans le cadre du processus décisionnel concernant la proposition de la CFMJ au Conseil fédéral pour la concession à Zurich, Hans Hofmann, membre de la Commission, a décidé de son propre chef de se récuser. En conséquence, Hans Hofmann n'a pris part ni aux discussions ni à la décision concernant cette proposition. De l'automne 2000 à mi-2002, Hans Hofmann fut membre du conseil d'administration de la société requérante dont la raison sociale est aujourd'hui Swiss Casinos Zürich AG. L'entreprise souhaitait à l'époque réaliser une maison de jeu à l'aéroport.

Le Conseil fédéral a prévu, en s'appuyant sur la proposition de la CFMJ, d'octroyer pour la ville de Zurich une concession à la requérante Swiss Casinos Zürich AG. Le groupe Swiss Casinos exploite déjà en Suisse les maisons de jeu de Saint-Gall, Pfäffikon et Schaffhouse. La maison de jeu de type A ouvrira vraisemblablement ses portes durant l'automne 2012, dans l'ancien grand magasin « Haus Ober » (Gessnerallee 3/5, Sihlstrasse 46/48).

Concernant la maison de jeu dans la région de Neuchâtel, le Conseil fédéral a également suivi la proposition de la CFMJ et opté pour le projet de FBAM Neuchâtel SA dans le « Casino de la Rotonde ». Ce projet est en mains de la société Kongress und Kursaal Bern AG. FBAM Neuchâtel SA ouvrira une maison de jeu de type B au centre de Neuchâtel, dans le « Casino de la Rotonde » (Faubourg du Lac 14), vraisemblablement au début de l'année 2012.

Les sociétés requérantes choisies peuvent débuter les préparatifs de la mise en exploitation. Avant l'ouverture, la CFMJ demandera formellement leur accord aux cantons et communes d'implantation; ceux-ci se sont déjà exprimés positivement lors d'une première prise de position. Les concessions définitives seront attribuées par le Conseil fédéral dès lors que les travaux préparatoires seront terminés et que toutes les modalités du contenu de la concession auront été définies.

La Suisse comptera alors 21 maisons de jeu concessionnées. Huit d'entre elles bénéficieront, en qualité de Grand Casino, d'une concession de type A et treize exploiteront des maisons de jeu au bénéfice d'une concession de type B.


Adresse pour l'envoi de questions

Dr. Benno Schneider, président de la CFMJ, +41 222 23 53, +41 31 323 12 04
Jean-Marie Jordan, directeur de la CFMJ, +41 31 323 12 05


Auteur

Conseil fédéral
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Département fédéral de justice et police
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La Commission fédérale des maisons de jeu aurait donné au Conseil fédéral sa recommandation pour le projet du groupe Kursaal Bern, visant à l'exploitation d'un casino à la Rotonde à Neuchâtel, selon plusieurs médias, dont L'Express et L'Impartial. Si cette information se révèle exacte, le Conseil fédéral pourrait accorder fin juin une licence de type B pour l'exploitation d'un casino à la Rotonde au groupe bernois.

(source ; rfj.ch/sma)

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Tribunal fédéral | Le Casino de Schaffhouse devra payer près de 400’000 francs d’amende pour avoir réagi trop tard face à une cliente dépendante aux jeux d'argent, a confirmé vendredi le Tribunal fédéral.

Trop lent à réagir à l’encontre d’une joueuse qui souffrait d’une dépendance pathologique aux jeux d’argent, le Casino de Schaffhouse devra payer près de 400’000 francs d’amende. Le Tribunal fédéral (TF) a confirmé la sanction.

Employée de banque, cette cliente avait détourné 2,8 millions de francs au préjudice de son employeur. Avant d’être arrêtée en octobre 2009, elle avait dépensé chaque semaine entre 60’000 et 90’000 francs.

Réaction tardive

Convaincue que la direction du casino avait réagi trop tard, la Commission fédérale des maisons de jeux lui avait infligé une sanction de 680’000 francs en avril 2010. Saisi d’un recours, le Tribunal administratif fédéral (TAF) avait réduit la sanction à près de 400’000 francs.

Une décision confirmée par le TF, qui rejette un recours du casino. Pour Mon Repos, il est» pratiquement exclu» qu’une personne déclarant une fortune de 130’000 francs et un revenu mensuel de 5500 francs dépense pendant des mois, voire des années, des sommes pouvant atteindre 100’000 francs.

La direction du Casino de Schaffhouse aurait impérativement dû se poser des questions sur la provenance des montants dépensés par la cliente. D’autant que les explications données par la joueuse pour justifier la hauteur de ses mises n’étaient guère crédibles, comme le TAF l’avait déjà relevé.

(source : .tdg.ch/ATS)

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L’interdiction de fumer a fait fuir un grand nombre d’amateurs de jeux de hasard

Depuis que la cigarette en a été bannie, les casinos souffrent. Et plus les lois cantonales contre les clopes sont sévères, plus la fréquentation des maisons de jeux en pâtit. «Avant, on était toujours en croissance de 1 à 2% annuels. Depuis l’entrée en vigueur de la loi antitabac, cette physionomie des chiffres a basculé», confirme Gilles Meillet, directeur général des opérations à l’international pour le Groupe Lucien Barrière qui dirige notamment le Casino de Montreux.

Avec le canton de Schaffhouse, dont le produit brut des jeux est en chute de plus de 20%, le canton de Vaud s’avère l’un des plus durs en ce qui concerne la fumée. Les revenus des jeux se sont ainsi tassés à Montreux de plus de 16%, à 97,1 millions de francs.

Mais l’interdiction de fumer n’est pas tout. Le Casino de Meyrin fait aussi partie des victimes, avec une chute du produit brut des jeux de 20,8%, à 69,4 millions de francs. La force du franc par rapport à l’euro a poussé un grand nombre de joueurs de l’autre côté de la frontière. «Un quart de ce recul est dû à la faiblesse de l’euro et la forte concurrence française», explique Fabrizio Barozzi, directeur du Casino Genève Partouche.

Actuellement, deux initiatives populaires inquiètent les milieux des jeux de hasard. «L’initiative «Pour des jeux d’argent au service du bien commun», si elle était acceptée, entraînerait la fermeture des maisons de jeux de l’économie privée et un manque à gagner de quelque 500 millions de francs par année pour la Confédération et les cantons. Quant à l’initiative de la Ligue pulmonaire visant la protection contre le tabagisme passif, elle aurait pour conséquence une nouvelle diminution de l’impôt sur les maisons de jeux et du produit brut des jeux», explique la Fédération suisse des casinos dans un communiqué qui s’oppose logiquement aux deux projets.

En termes d’impôts, cette situation n’est effectivement pas des plus favorables, puisqu’elle aboutit à une baisse de 7,2%. En ligne de mire, l’AVS, étant donné qu’elle est la principale bénéficiaire de cet impôt.

Revenus Produit brut des casinos et impôts

(source : tdg.ch/Olivier Wurlod)

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Depuis 2005, les employés du Casino de Crans-Montana ne sont pas à la fête. Licenciements abusifs, injures et arrêts maladie sont leur lot quotidien. lematin.ch enquête.

Vous travaillez au Casino de Crans-Montana? Rien ne va plus. Depuis octobre 2005, c'est le groupe Partouche qui y applique son «management». Côté affaires, personne ne s'en plaint. Dès 2006, l'établissement dégage un énorme 25% de rentabilité. Cela classe Crans-Montana premier casino de Suisse.

Dans les salles, le personnel n'est pas à la fête. Sous constante pression, les collaborateurs «explosent». Jusqu'à fin 2009, les différents directeurs d'exploitation licencient à tour de bras. «C'était un véritable régime de terreur. On pouvait être renvoyé pour un manque de sourire ou pour une différence de caisse de quelques francs répétée», dit cette ancienne employée. «J'ai connu des brimades et un manque de respect incessant», témoigne cet ex-membre du comité de direction.

Ce qu'on appelle le «turn over», à savoir le mouvement du personnel, donne le tournis. Avant l'arrivée du groupe Partouche, il se situait autour de 35%. Entre 2006 et 2010, les statistiques internes montent à une moyenne de 70%. On atteint même les 90% en 2008. Aux prud'hommes de Sion, les dossiers s'empilent par dizaines. Selon les documents en notre possession, plus de trente cas ont été traités à ce jour, correspondant à plus de 300 000 francs d'indemnités versées afin d'éviter les jugements.

Cette situation, Fernand Nanchen, membre du conseil d'administration et qui s'exprime au nom de la direction, ne la nie pas. «C'était un système de gestion qui n'était pas adapté à la situation. Nous n'étions pas au courant. Quand on a su ce qui s'était passé, le ton est monté.» En accord avec l'Inspection du travail et la Commission fédérale des maisons de jeux (CFMJ), il assure avoir fait le ménage dès janvier 2010. «Nous avons ordonné de réels changements. Vis-à-vis des anciens employés, nous avons assumé nos responsabilités jusqu'au bout. A présent, les choses sont nettes et réglées», dit-il.

Insultes devant les clients

Pas sûr. Dès 2010, la nouvelle direction ne licencie plus. Mais elle s'arrange pour que les employés prennent eux-mêmes la porte. Juin 2010, un «groupe de collaborateurs» exprime son ras-le-bol. Dans une lettre ouverte envoyée à divers responsables du conseil d'administration et que «Le Matin» détient, il met profondément en cause le nouveau directeur général et sa compagne, également directrice. «Nous sentons peser la menace en permanence», écrivent-ils. Les croupiers, selon la lettre, sont insultés devant les clients: «Tu es mauvais. Tu ne sers à rien. Tu pues, vas te laver...» La missive de doléance poursuit: «La majorité du personnel cherche un autre emploi ou est en arrêt de travail, 80% du personnel sont sous tranquillisant». Les médecins du Haut-Plateau signent force attestations qui indiquent que la seule guérison possible est de quitter le casino sans délai.

Fin 2010, les départs atteignent la quarantaine de collaborateurs. «Mais le casino est aussi un univers très particulier. Tous les casinos de Suisse se heurtent à ce genre de difficultés», tempère encore Fernand Nanchen. Aujourd'hui, le casino dévoile les bénéfices de 2010. L'année passée, il y a eu dix millions distribués à bien des partenaires: les communes du Haut-Plateau, l'Etat, la Fondation du Casino. On verra si l'année 2011 marquera d'autres bénéfices plus humains.

(source : lematin.ch/Joël Cerutti)

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Des casinos suisses sont apparemment victimes d’une bande de filous russes.

Des casinos suisses sont apparemment victimes d’une bande de filous russes. La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) a lancé l’alarme dans une lettre aux maisons de jeu, qui ont mis les aigrefins sur liste noire.

La lettre a été montré mardi soir à la télévision alémanique lors de l’émission «zehn vor zehn». Jean-Marie Jordan, directeur de la commission, a mis en garde les gérants de casinos: «par cette lettre, nous vous informons que plusieurs cas de tricherie présumé ont été observés dans certaines maisons de jeu».

Des suspects, de nationalité russe, jouent sur les machines à sous de type «Gaminator» ou «Supergaminator». La CFMJ enquête actuellement sur la manière dans les machines sont manipulées ou piratées, a indiqué M. Jordan.

Les casinos ont immédiatement réagi en installant «sur les machines concernées des mesures de sécurité supplémentaires», a déclaré Detlef Brose, gérant du Grand casino de Baden (AG).

(source : 20min.ch)

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Treize personnes sont soupçonnées d'avoir commis une escroquerie au détriment des casinos de Lugano et de Locarno, leur causant un préjudice financier de 443'000 francs. Huit des suspects sont d'anciens employés des maisons de jeux, a indiqué jeudi le ministère public tessinois.

Les faits se sont produits de juin 2006 à décembre 2007. En visionnant des vidéos de surveillance, il est apparu qu'aux tables de certains croupiers les mêmes personnes gagnaient régulièrement de fortes sommes.

L'enquête du ministère public a commencé en 2008. Six des suspects ont été inculpés et une procédure a été engagée pour les sept autres.

(source : romandie.com/ATS)

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Le projet de casino de La Tène intéresse les Etats-Unis. S’il voit le jour, son exploitant sera la société Century Casinos. Cette société est basée dans le Colorado. Elle exploite des casinos aux Etats-Unis, au Canada, en Pologne et sur de luxueux paquebots. Century Casinos entend investir 30 millions de francs dans le projet de La Tène, à proximité immédiate de l’hôtel Ibis, à Thielle. La société veut construire un casino flambant neuf, sur 2'000 mètres carré, avec 250 machines à sous, 18 tables de jeu et un parking souterrain.

Le casino de La Tène est en concurrence avec trois autres projets à Neuchâtel. Le Conseil fédéral doit se prononcer d’ici cet été. /fpa

(source : rfj.ch)

Information complémentaire : Century Casinos Applies for Casino License in Switzerland

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La Loterie romande sort gagnante du procès qui l'opposait à la Fédération suisse des casinos. Le Tribunal fédéral (TF) donne son feu vert définitif à l'exploitation des appareils de jeu "Tactilo" dans les restaurants, les cafés et les kiosques.

Le verdict sonne comme un nouveau désaveu pour la Commission fédérale des maisons de jeux (CFMJ), qui voulait les assimiler à des appareils à sous et les réserver uniquement aux casinos. En janvier 2010, le Tribunal administratif fédéral (TAF) avait déjà donné raison à la Loterie romande.

Depuis des années, celle-ci exploite des centaines d'appareils de jeu "Tactilo". Ils génèrent plus de 100 millions de francs de revenus bruts par année. En 2006, la CFMJ avait décidé d'interdire leur exploitation hors des casinos.

Son veto avait provoqué une levée de boucliers. Tous les cantons avaient soutenu les recours de la Loterie romande et de Swisslos, son pendant alémanique. Durant la procédure, l'installation de nouveaux appareils avait été frappée d'un long moratoire. Quatre conditions

En dernière instance, le TF donne raison à la Loterie romande et se rallie au verdict du TAF. Il juge que les jeux de type "Tactilo" ne peuvent être assimilés à des appareils à sous, car ils remplissent les conditions d'une loterie au sens de la jurisprudence.

Pour qu'il y ait une loterie, rappelle le TF, il faut qu'il y ait une mise, l'intervention du hasard, une chance de gain sans oublier la quatrième caractéristique, l'élément distinctif de la planification.

Pour Mon Repos, les trois premières conditions sont données et la quatrième également, qui est "la plus difficile à apprécier". En l'espèce, les juges fédéraux admettent que "le jeu est organisé sur la base de plans, qui se révèlent identiques à ceux des loteries à prétirage sur papier".

Le fait que le jeu "Tactilo" présente des différences par rapport aux loteries traditionnelles, puisqu'il a pour support une machine électronique et non pas des billets émis sur papier, ne suffit pas pour l'assimiler à un appareil à sous, indique le TF.

Perdantes, la Fédération suisse des casinos devra verser 18'000 francs de frais judiciaires et la CFMJ dix mille francs de dépens à la Loterie romande et la même somme à Swisslos et aux cantons.

(source : romandie.com/ATS)

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Casino de Montreux | La baisse du chiffre d’affaires du Casino de Montreux sans fumée aurait fait lourdement chuter le produit des jeux versé à l’AVS

Dix à 12 millions de francs. C’est le manque à gagner de l’AVS entre 2009 et 2010 résultant de l’interdiction de fumer dans les salles de jeu du Casino de Montreux, lieu public soumis à la loi vaudoise antitabac. Et cela n’a rien à voir avec la diminution des ventes de cigarettes. Telle est en effet, selon les chiffres avancés par l’entreprise de la Riviera, la conséquence d’une baisse de fréquentation des machines à sous, dont 60% du produit brut sont versés à l’AVS.

L’interdiction de fumer dans les lieux publics est entrée en vigueur le 15 septembre 2009. L’affluence au Casino de Montreux – deuxième de Suisse après celui de Baden – a dégringolé de 642 000 personnes en 2009 à 601 000 en 2010. Son chiffre d’affaires global sur les jeux a baissé de 18,4% pour ce qui est de ses 385 machines à sous. La part de produit brut payée à l’AVS a chuté de 72 à 60 millions de francs. Enfin, le nombre de postes de travail est passé de 252 équivalents plein-temps à 224.

Comment résister à la proposition d’une solution pour atténuer ce dommage collatéral préjudiciable à l’intérêt public? Très simple, aux yeux de Frédéric Haenni, député radical. Il suffit d’autoriser les machines à sous dans les fumoirs sans service. Perplexe, la commission du Grand Conseil chargée d’examiner sa motion vient de donner de justesse un préavis favorable. Si le parlement suit sa recommandation, ce sera au Conseil d’Etat de trancher. L’affaire est loin d’être anodine.

Un léger doute subsiste quant à l’origine de cette baisse du chiffres d’affaires. Certains l’attribuent à la conjoncture. Il demeure que le casino de Fribourg accuse une perte globale de 1,79% contre 19,03% pour celui de Montreux au cours de la période considérée. De fait, la motion Haenni et consorts demande essentiellement l’égalité de traitement avec les autres casinos de Suisse, dont aucun ne souffre d’une semblable pénalisation.

Elle souligne que Fribourg, qui a adopté une loi identique à celle des Vaudois, l’applique de manière moins restrictive pour ce qui est des fumoirs. Ce qui a pour conséquence que, durant les premiers mois de 2010, 66% du chiffre d’affaires des 136 machines à sous de son casino sont réalisés dans la partie fumeur.

Consulté, le conseiller d’Etat Pierre-Yves Maillard comprend qu’on puisse plaider pour une égalité de traitement entre les deux cantons, notamment. Mais il observe qu’en cas d’acceptation d’une telle exception, il sera difficile de résister à la Loterie Romande si celle-ci demande de pouvoir mettre des Tactilo dans les fumoirs des restaurants.

Frédéric Haenni fait vibrer la corde sensible en ajoutant que les joueurs détournés des machines à sous de Montreux se défouleront peut-être sur les casinos virtuels, qui eux ne reversent pas un sou à l’AVS. C’est le principal argument en faveur d’une période d’essai que le Conseil d’Etat pourrait être amené à accorder.

(source : 24heures.ch/Georges-Marie Bécherraz)

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Berne, 03.01.2011 - Le délai de dépôt des candidatures pour deux nouveaux casinos, en ville de Zürich et dans la région de Neuchâtel, a pris fin le 31 décembre 2010. La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ), qui dirige la procédure d'octroi de concession, a reçu 9 demandes.

Le Conseil fédéral a mandaté en mars 2010 la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) de procéder à la mise au concours de concessions de maisons de jeu en ville de Zürich (concession A) et dans la région de Neuchâtel (concession B).

5 requérants se sont annoncés pour une maison de jeu à Zürich et 4 pour une maison de jeu dans la région de Neuchâtel. La CFMJ publiera les éléments principaux des demandes fin janvier 2011 dans la Feuille fédérale et dans les feuilles officielles des cantons de Zürich et Neuchâtel.

Le Conseil fédéral décidera vraisemblablement en été 2011 à quels requérants il est prévu d'octroyer une concession.


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Zurich (awp) - Escor Casinos & Entertainment SA vend sa participation de 36,5% dans Casino Locarno SA à ACE Casino Holding AG. Les sociétés concernées ont convenu de ne pas divulguer le prix de l'opération, lit-on dans le communiqué d'Escor diffusé lundi soir. La transaction est sujette à l'approbation de la Commission fédérale des maisons de jeu.

A long terme, le conseil d'administration d'Escor entrevoit une évolution modérée du marché tessinois. La concurrence grandissante due à la création de nouveaux projets de casinos et la multitude de machines à sous dans le nord de l'Italie en sont les causes, selon le communiqué.

Le revenu issu de cette vente sera destiné à être investi dans des projets à forte croissance. Dans ce contexte, les candidatures pour de nouvelles concessions à Zurich et dans la région autour de Neuchâtel revêtent une importance primordiale.

(source : romandie.com/dl/dm/ft)

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La Commission fédérale des maisons de jeu va sévir contre la mode des tournois illégaux.

Le Tribunal fédéral a brutalement mis fin à la vogue des tournois de poker au mois de mai dernier. Seuls les casinos peuvent désormais proposer ces tournois, mais l’offre clandestine s’est développée. Jusqu’ici, l’autorité de contrôle s’est montrée plutôt discrète. Mais cela va changer, comme le confirme au «Matin» Jean-Marie Jordan, directeur de la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ): «Il n’y a pas de chasse aux sorcières, nous faisons preuve de retenue dans la répression, mais il est de notre devoir de faire des contrôles, opérés après dénonciation.»

Le plus souvent, des joueurs fâchés ou des cafetiers concurrents balancent des informations à la CFMJ. «Jusqu’ici, trois contrôles d’une certaine envergure ont eu lieu. D’autres devraient vraisemblablement suivre», indique Jean-Marie Jordan. Pour l’heure, ces contrôles ont frappé la Suisse alémanique. La Suisse romande va suivre. D’après nos informations, des dénonciations sont aussi arrivées de côté-ci de la Sarine.

Les organisateurs de tournois qui dépassent le cadre familial ou amical ont donc intérêt à faire attention. Et la CFMJ ne plaisante pas lorsqu’elle mandate la police pour opérer un contrôle. Vendredi dernier, une cinquantaine d’amateurs de Texas Hold’em en ont fait l’expérience à Köniz, dans la banlieue bernoise. Plus de trente gendarmes ont débarqué dans le local d’un établissement public et demandé aux joueurs de lever les mains en l’air avant de tous les menotter.

Seuls les organisateurs sont poursuivis
Chacun a été interrogé puis relâché, sachant que la participation à un tournoi illégal n’est pas sanctionnée. «Il faut rappeler aux gens que seuls les organisateurs de tournois illégaux peuvent être poursuivis. Les participants, eux, ne risquent rien sur le plan pénal. Le même principe s’applique sur Internet.»

Même si le citoyen de base n’est pas visé, cette nouvelle traque aux tournois de poker passe mal auprès de nombreux élus fédéraux. Hier encore, le Conseil des Etats a eu un bref débat à ce sujet. Sans prendre encore de décision, les sénateurs ont exprimé «une certaine sympathie» à l’égard de motions qui visent à ce que des tournois de poker puissent de nouveau être organisés hors des casinos.

L’UDC vaudois Jean-Pierre Grin a par exemple déposé un texte qui demande que la CFMJ puisse délivrer des licences allégées aux organisateurs de tournois de poker où la mise est limitée. Une telle révision de la loi risque toutefois d’être longue et incertaine. Le sénateur Luc Recordon (Verts/VD) préfère ainsi s’engager pour que la notion de jeu dans la sphère privée soit appliquée de manière assez large: «On pourrait imaginer une ordonnance qui limite les tournois privés à une vingtaine de personnes et les mises à 200 francs.» Jean-Marie Jordan, lui, ne croit pas à la nécessité de nouvelles lois: «Il est préférable de juger au cas par cas. La marge de manœuvre reste suffisante pour les tournois dans un cadre privé.»

(source : lematin.ch/Ludovic Rocchi)

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Berne (awp/ats) - Les maisons de jeu disposant d'une autorisation de type B pourront exploiter jusqu'à 250 appareils à sous dès janvier, au lieu de 150. Le Conseil fédéral a assoupli mercredi la réglementation pour les "petits" casinos. La limite supérieure du jackpot passera de 100'000 à 200'000 francs.

Le gouvernement avait déjà annoncé ces mesures en mars, lorsqu'il avait refusé de lever la distinction entre casinos de type A et de type B. L'ordonnance révisée permettra aux maisons de jeu B d'exploiter plusieurs systèmes de jackpot.

A l'avenir, l'autorité compétente pourra ordonner aux casinos l'emploi de dispositifs techniques de surveillance des jeux de table, en cas de menace sur la sécurité de l'exploitation des jeux.

La concession A ne pose aucune limite au nombre de tables et de machines à sous. Les mises sont illimitées pour les grands casinos, alors que dans les kursaals, un maximum a été fixé selon les jeux.

La Suisse compte actuellement 19 maisons de jeu, dont sept titulaires d'une concession A. Deux nouveaux établissements ont été autorisés, un kursaal à Neuchâtel et un grand casino A à Zurich.

(source : romandie.com/ats/sm)

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Le Casino de Schaffhouse devra payer une sanction de 440'000 francs pour avoir tardé à réagir à l'encontre d'une joueuse victime de sa dépendance au jeu.

Une joueuse compulsive avait détourné 2,8 millions de francs au préjudice de la banque qui l'employait. En octobre 2009, la presse locale avait évoqué l'arrestation de cette quadragénaire. Devenue flambeuse invétérée, cette femme avait joué chaque semaine entre 60'000 et 90'000 francs.

Dès la parution des articles de presse, la Commission fédérale des maisons de jeu avait réagi. Elle avait contacté le Casino de Schaffhouse, qui l'avait avisée que la cliente avait été frappée d'une interdiction de jeu en septembre 2009.

Convaincue que la direction du casino avait réagi trop tard, la Commission fédérale lui avait infligé une sanction de 680'000 francs. Saisi d'un recours, le Tribunal administratif fédéral réduit quelque peu la sanction et juge que le casino aurait dû prononcer une interdiction de jeu en 2007 déjà.

A cette époque déjà, il aurait dû s'apercevoir que les sommes jouées étaient sans rapport avec les revenus d'une simple employée. De plus, les explications que la joueuse avait données à l'époque pour justifier la hauteur de ses mises n'étaient guère crédibles.

(source : 20min.ch/ATS)

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Les Verts des districts de Neuchâtel et Boudry ne veulent pas de casino, ni à La Tène, ni à Neuchâtel.

Les Verts demandent aux autorités de la Ville de Neuchâtel de préserver le Jardin anglais, «lieu central et convivial», et s’opposent à ce que la Ville loue un de ses bâtiments - la Rotonde - pour en faire un casino. Ils l'écrivent aujourd'hui dans un communiqué.

Pour eux, un casino induit un trafic nocturne considérable. Ils évoquent également les risques d’addiction au jeu et ses conséquences sociales. Ils ont adopté cette position lors de leur séance de comité du mois de septembre.

Plan de mobilité

Les Verts demandent également à l'Etat et à la Ville de Neuchâtel de mettre en œuvre avant le Millénaire des plans de mobilité pour leurs employés, afin de donner «un exemple clair et crédible aux autres employeurs de la région».

Une manière, selon les Verts, de rendre la ville plus attractive et conviviale pour ses habitants et ses visiteurs.

(source : arcinfo.ch)

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